• God dammit mon lapin, aujourd'hui je suis bien contente de te retrouver pour une creepypasta Pokémon très connue et très bien. Oui, juste bien. Au début on aime tous ce scénario un peu claqué de cartouche hantée, mais là y en a tellement qui se ressemblent et qui, qui plus est, sont très cacas, que bah moi ça m'arrive même de les confondre puis de les oublier. C'est bête parce que cette creepypasta-là, je la trouve super et pourtant j'avais absolument oublié son existence jusqu'à y a quelques jours.
    Enfin bref, comme d'habitude voilà le texte original, et c'est parti mon kiki

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    Je suis ce qu'on appelle un collectionneur de bootlegs Pokémon. Pokémon Diamond & Jade, Chaos Black, etc, bref, des jeux Pokémon modifiés. C'est dingue le nombre qu'on peut en trouver dans les marchés aux puces et dans les Cash Express.



    Ils sont en général fun; même si parfois injouables (voire souvent), les traductions et qualités pourries les rendait non-intentionnellement humoristiques. J'ai pu retrouver la plupart d'entre eux sur le net, mais il y en a un que personne ne mentionne. Je l'ai acheté aux puces il y a 5 ans.

    Pokémon Creepy Black

     

    Voici un scan de la cartouche, au cas où quelqu'un la reconnait. Malheureusement, après mon déménagement d'il y a deux ans, je l'ai perdu, impossible de vous fournir des screencaps. Navré. Cependant, je crois que c'est mieux ainsi...Le jeu commence avec l'intro habituelle avec Nidorino et Ectoplasma des versions Bleu et Rouge. Mais l'écran titre est différent. Red était là, mais le Pokémon était absent. Il y a aussi marqué “Black Version” sous le logo Pokémon.Après avoir choisi “New Game”, le jeu commence avec le Professeur Chen, et il était de plus en plus évident que le jeu était un hack de Pokémon Rouge.Une fois le starter choisi, en regardant dans l'équipe, en plus de Bulbizarre, Salamèche, ou Carapuce, un autre Pokémon — “GHOST”.Le Pokémon était niveau 1. Il a le sprite des fantômes qu'on rencontre dans la tour de Lavanville avant d'avoir le Sylph Scope. Il n'a qu'une attaque — “Curse” (Malédiction). Je sais qu'il existe déjà Malédiction dans les attaques Pokémon, mais celle-ci n'existant pas encore dans la génération 1, c'est vraisemblablement un hack.Les Pokémon adverses ne pouvaient rien faire contre Ghost — ça disait qu'ils étaient trop peureux pour bouger. Quand “Curse” était utilisé, l'écran devenait noir. Le cri du Pokémon adverse se faisait entendre, mais il était distordu, et le ton était beaucoup plus bas. L4écran revient à la bataille, et le Pokémon adverse disparaissait. Si c'est utilisé lors d'un duel avec un dresseur, quand les Pokéballs représentaient leurs Pokemon restants dans le coin, une de ces Pokéball disparait aussi.Le Pokémon mourrait réellement.



    Encore plus étrange : une fois un dresseur vaincu, ça disait “Red gagne $200 pour sa victoire!”, les commandes de combat réapparaissaient. Si on choisissait “Run”, la bataille se terminait normalement. On pouvait aussi utiliser "Curse". En ce cas, on revenait au monde du jeu et le sprite du dresseur disparaissait. En quittant et en revenant dans la zone, l'endroit [où] le dresseur était se trouvait une pierre tombale, comme celles de la tour de Lavanville.



    “Curse” n'était pas utilisable à 100%. Il échouait avec les Pokémon fantômes comme Ectoplasma. Cela échouait aussi face à des dresseurs qu'on devrait revoir par la suite, comme le Rival ou Giovanni. Mais l'attaque refonctionnait dans leurs batailles finales, cependant.J'imagine que c'était l'intérêt du jeu, de pouvoir utiliser les fantômes incapturables à l'origine. Et parce que "Curse" rendait le jeu facile, Je m'en servis tout le temps durant toute l'aventure.Le jeu prit un changement après la défaite de la ligue Pokémon. Après avoir vu l'écran qui affiche les pokémons vainqueurs, c'est à dire Ghost et quelques Pokémon aux niveaux très bas, l'écran vire au noir. Une boite texte apparait avec les mots “Many years later…” (Des années plus tard...) On arrive alors sur la tour de Lavanville. Un vieil homme est là, en train de regarder les pierres tombales. On réalise que cet homme est en fait le joueur, Red.L'homme bouge moitié moins vite que le joueur. On n'a plus un seul Pokémon, même pas Ghost, qui, soit dit en passant, était impossible à enlever de l'équipe pour le mettre dans les PC. Le monde entier est complètement vide — Aucune personne nulle part. Par contre, les tombes des dresseurs n'avaient pas bougé.On peut aller pratiquement partout à ce niveau, bien que les mouvement soient limités, sans Pokémon avec leurs CT. Et quelque soit l'endroit où vous êtes, la musique de Lavanville continue dans une boucle infinie. Après avir visité un moment, j'ai découvert que le buisson qui bouche l'entrée de Diglett’s Cave n'est plus là, vous laissant entrer et revenir à Bourg Palette.

    En entrant dans la maison de départ et en se mettant à l'endroit exact du début du jeu, l'écran vire au noir.Puis un sprite de Chenipan apparait. Puis, remplacé par un Roucoul, puis un Coconfort. Je me rendis compte alors, alors que les Pokémon allaient de Rattata à Tortank, que c'était tous les Pokémon sur lesquels j'ai utilisé Curse.A la fin de l'équipe de mon Rival, un petit garçon apparait, puis un chasseur d'insectes. C'était les dresseurs que j'avais maudits avec Curse.Pendant toute cette séquence, la musique de Lavanville jouait, mais son ton descendait de plus en plus. Lorsque mon Rival apparut à l'écran, ce n'était plus qu'un grognement bas et démoniaque.Autre écran noir. Et un moment plus tard, l'écran de combat apparait soudainement — le sprite du dresseur était celui d'un vieillard, le même que celui qui vous apprend à utiliser les Pokéballs à Jadielle.Ghost apparait de l'autre côté, avec les mots “GHOST wants to fight!” en dessous.Impossible d'utiliser des objets, et on n'a plus de Pokémon. La fuite échoue à chaque fois. L'unique option possible était “FIGHT”.Combattre vous donne simplement la possibilité de faire un étranglement, ce qui échouait à chaque fois et vous draine un peu de HP sans pour autant affecter Ghost. Au tour de Ghost, ça dit simplement “…” Eventuellement, Lorsque les HP atteignent un point critique, Ghost utilise finalement Curse.L'écran vire au noir une dernière fois.Peu importe les boutons appuyés, on est en permanence bloqué à cet écran noir. A ce point, la seule chose à faire était d'éteindre la Game Boy. Quand on relance le jeu, “NEW GAME” était la seule option — le fichier de sauvegarde avait été effacé par le jeu.J'ai joué à ce jeu hacké maintes et maintes fois, et à chaque fois, le jeu se terminait de cette manière. Plusieurs fois j'ai tenté de ne jamais utiliser Ghost, bien qu'il était impossible de l'enlever de l'équipe. Dans ces cas, aucun Pokémon ou dresseur n'apparaissait listé et le jeu arrivait directement à la bataille avec Ghost.Je ne suis pas sur des motifs qui ont poussé le créateur de ce hack à le créer. Il n'a pas été distribué largement, donc ce n'était pas pour le fric. Il était super bien fait, ce bootleg.J'imagine que le codeur voulait transmettre un message; bien que j'en ai été le seul destinataire. Je ne suis pas sur de son message — l'inévitabilité de la mort ? Son non-sens ? Où essayait-il simplement d'injecter morbidement la mort et les ténèbres dans un jeu pour enfants. Quoiqu'il en soit, ce jeu pour enfants m'a fait réfléchir, et il m'a fait pleurer.

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  • Titre : Counting Sheep
    Artiste : SAFIA


    I never make a sound
    Fingers crossed I shut my mouth
    Thoughts they're creeping through my teeth
    (creeping through my teeth)
    Drip, drop, the night is loud
    Silence seems to drown me out
    Box my thoughts and give me some relief

    I wanna let you down
    Make you toss and turn around
    Wont you give me what I need
    I wanna let you down
    And I'm always lost and never found
    Wont you give me what I need

    Tick, tock, make me creep
    Never ending counting sheep
    Never get no sleep
    Tick, tock, make me creep
    Never ending counting sheep
    Never get no sleep

    Don't drop the curtains down
    Darkness is the whole surround
    My mind is lurking at my feet
    (at my feet)
    Criss, Cross, the night is sour
    Pupils fixed on every hour
    Sunrise is the only thing that's sweet

    I wanna let you down
    Make you toss and turn around
    Wont you give me what I need
    (what i need)
    I wanna let you down
    And I'm always lost and never found
    Wont you give me what I need

    Tick, tock, make me creep
    Never ending counting sheep
    Never get no sleep
    Tick, tock, make me creep
    Never ending counting sheep
    Never get no sleep

    Tick, tock, make me creep
    Never ending counting sheep
    Never get no sleep
    Tick, tock, make me creep
    Never ending counting sheep
    Never get no sleep


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  • Bonsoir mon petit lapin en sucre  Aujourd'hui on s'attaque à Tarnished Gold, une creepypasta que je trouve personnellement pas très effrayante, mais vraiment triste. En tout cas, il faut savoir que Silver est mon rival préféré alors mon jugement concernant la qualité de la pasta est un peu faussé o/ Mais je suis persuadée qu'elle sera à ton goût, alors n'oublie pas le texte original ici, et bonne lecture !

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    Etant quelqu'un qui n'est pas un pro de l'informatique comme quelqu'un de ma génération devait l'être, Je sais très peu de choses sur ce que les technologies actuelles sont capables. Malgré les mails, MSN, et le téléchargement occasionnel de choses impossibles à obtenir pour le moment, j'ai autant de connaissances qu'un gamin de 8 ans sur le monde électronique.


    Par exemple, et c'est à propos de l'histoire que je vais raconter, j'ignorais totalement que quelqu'un pouvait hacker un jeu pokémon pour créer sa propre histoire pokémon, et encore moins qu'il était possible de faire une copie physique du jeu sur cartouche.

    Cependant, j'ai fini par l'apprendre. Par la manière la plus glauque qui soit.

    Quand j'étais petit, Pokémon Gold était mon premier jeu de la franchise. Je m'étais attaché à mes créatures, à mon perso (nommé avec mon nom) et j'ai souvent imaginé le genre d'aventures que nous pourrions avoir dans ce monde.

    Mais ce n'est pas important, là.

    L'important c'est le fait que je n'ai jamais vraiment abandonné mes rêves d'enfant, les souvenirs que j'avais de ce jeu sont trop précieux pour les oublier. J'avais toujours ma vieille cartouche de Gold avec sa sauvegarde, complète avec abus total du bug de clonage. Je refuse de détruire ma sauvegarde pour une nouvelle partie, j'avais peur de perdre la magie de mon enfance avec.

    Je voulais jouer une toute nouvelle partie de la version que je préférais, mais les vieilles cartouches sont difficiles à trouver hors d'Internet de nos jours, la plupart des marchés aux puces ont des jeux GBA...et c'est rarement des jeux Pokémon.

    Heureusement, ma grand-mère a toujours bien supporté mon amour pour Pokemon et m'achète souvent des jouets, cartes collectibles, VHS et autres qu'elle trouve durant ses visites au marché. Evidemment, peu de ces cadeaux étaient en bon état ; des objets oubliés dans un coin du sous-sol par leurs propriétaires grandis. Mais, étant des cadeaux d'un proche, je les chérissais comme s'ils valaient de l'or...sans jeu de mots.

    Plus récemment, elle m'a ramené une boite avec une VHS contenant les premiers épisodes de la première saison de l'animé, quelques centaines de cartes usées, et une cartouche sans étiquette.

    La cartouche était en plastique doré métallisé comme le jeu que j'attendais. Même si à la place de l'étiquette, un large 'X' rouge était écrit, je pouvais facilement deviner ce que c'était...Quel autre jeu Game Boy a cette couleur ? Vous imaginez mon excitation en ayant cette nouvelle copie ! - Je déteste commander en ligne, c'était un soulagement - Je la remerciai énormément, lui promettant de l'essayer une fois à la maison, ce que je fis.

    Commencer fut difficile, pas à cause du jeu, mais parce que j'avais vendu ma GBA à mon petit frère il y a quelques années pour des cartes Pokémon...Et quand il a quelque chose, c'est difficile de lui reprendre. Les relations fraternelles sont ainsi, je suppose.

    Après maintes négociations, j'ai enfin pu remettre la main sur la GBA et j'insérai rapidement la cartouche vandalisée. Je sentis des frissons d'excitation en voyant la vidéo d'introduction démarrer, ainsi qu'une vague de nostalgie, c'était bon de revenir à ce jeu.

    Le jeu démarrai normalement, le dessin pixelisé de Ho-oh volant, dévoilant le titre du jeu avant de m'emmener à l'écran de sélection. L'ancien propriétaire avait laissé sa sauvegarde, mais cela m'importait peu. Vu comment le jeu avait été traité, ils devaient être très jeunes. J'aurais surement trouvé une équipe pleine de Pikachus avec des noms débiles.

    Je commençai une nouvelle partie.

    C'est là que je réalisai que quelque chose n'allai pas dans le jeu. L'intro normale qui présentait un professeur parlant du monde de Pokémon ne se montra pas. A la place, il y a eu ça:

    Tout commença avec un écran noir, là tout va bien vu que Gold, Silver, et Crystal commencent ainsi. Mais au lieu de l'écran ‘Quelle heure est-il ?’ qui permet de paramétrer l'heure, il y a eu ça…

    ………..
    ……

    Les Pokemon ne sont rien d'autre que des outils.
    Utilise les, et débarrasse-t-en.
    ……..

    L'écran fit un fondu, révélant une zone vide la nuit. Elle semblait familière ; je crois que c'est une route qu'on visite au début du jeu, mais comme ça faisait un bail que j'avais pas joué, je ne pouvais deviner plus.

    Dans le silence de la scène, le sprite du rival – nommé Silver- arriva par la gauche; il avançait plus lentement que d'ordinaire, comme s'il hésitait. Une fois au milieu de l'écran, il s'arrêta, se retourna pour regarder derrière lui, et se retourna dans l'autre sens.

    Durant un moment, il resta là à regarder le coté gauche de l'écran avant qu'une boite de texte apparut et dise “…”. Après ça, il regarda encore autour de lui, mais cette fois, il continuait jusqu'à sortir de l'écran.

    La scène fondit pour montrer Silver à l'endroit où on le rencontre pour la première fois, a l’extérieur du labo du professeur. C'était clairement à un moment éloigné de l'histoire du jeu car le professeur et ses assistants quittaient le bâtiment et partaient dans différentes directions ; les assistants quittaient la ville, et le professeur Orme descendait plus loin hors de l'écran – me laissant deviner que sa maison est dans la ville. Le perso de Gold n'était nulle part.

    Après la scène, ça resta sur Silver. Je pensais que le jeu avait planté au bout d'une minute, mais je réalisai au bout d'un moment que je pouvais le contrôler. Honnêtement, ça m'a un peu ravi, Silver était – et a toujours été - mon rival pokémon préféré, c'était une chose intéressante de pouvoir le jouer.

    J'essayai de descendre plus bas pour explorer, mais ça me stoppait automatiquement quand je tentai de faire un pas hors de la zone du labo. Un message m'expliquait, “Je ne peux pas partir maintenant…”, et ça me faisait un pas en arrière. Je restai près de l'endroit où j'étais apparu et m'approchai de la fenêtre, elle fonctionna comme une porte et me laissa entrer dans le labo.

    En plus de l'équipement habituel -livres, ordis, poubelles, tables, etc- le labo était vide; logique puisque les employés étaient partis. Sur la table, il y avait une pokéball, et comme je n'avais aucun pokémon, je l'ai prise.

    Un message me dit ‘Vous avez obtenu un KAIMINUS’ mais pas de son comme celui qu'on entend quand on a un objet…apparemment, le vol était autorisé dans ce jeu. Après avoir appuyé sur ‘A’, il me proposa de nommer mon Pokémon, je choisis ‘oui’ car j'adore leur donner des noms perso. Alors que j'arrivai sur l'écran pour taper un nom, un autre message arriva, interrompant le processus :

    “Ne le nomme pas ! Tu t'y attacherais.
    Ne l'aime pas, utilise-le.”

    C'était clairement la même ‘voix’ que celle du début du jeu…Je trouvais ça étrange…

    Je revins au labo vide, et tenta de sortir par la porte, mais je fus stoppé par Silver disant, “Pas par là…” Il fit encore un pas en arrière, et mon seul choix fut de sortir par la fenêtre où j'étais entré.

    Comme si les choses actuelles n'étaient pas assez bizarres, en quittant Nouvelle Ecorce et partant pour mon aventure, je remarquai que l'herbe haute ne déclenchait aucun combat. Normalement, je les évite quand j'ai bien avancé dans le jeu, mais durant le départ, j'aimais beaucoup augmenter les niveaux de mes pokémons…C'était assez frustrant de ne trouver personne pour combattre.

    Après quelques minutes à faire les cent pas dans l'herbe haute, je suis finalement tombé sur un pokemon. Un Fouinette, rien d'extraordinaire, mais quand j'envoyai mon Kaiminus et choisi la seule attaque qu'il avait –Griffe -, le pokémon fuya. J'étais confus, les pokémon sauvages ne fuient jamais…du moins, pas si tôt dans le jeu. Après quelques essais, où rien de nouveau ne se passa, je continuai à Ville-Griotte.

    Juste avant d'entrer en ville, je reconnus la petite zone où Silver apparait au début. En entrant, je tombai sur Gold, qui me défia en duel sans un mot.

    Son pokémon, un Héricendre, était déjà à un niveau un poil plus élevé que moi (j'étais coincé au niveau 5, il en était au niveau 7) et, même si j'avais le type parfait pour avoir l'avantage, il me mit une raclée. Avant le retour sur l'écran principal, le sprite de Gold apparut après le Héricendre…il semblait déçu.

    Après avoir visité le centre Pokémon de Ville-Griotte – Je ne l'avais jamais utilisé en premier, mais c'était la seule option que j'avais-, je revins à l'endroit où Gold se trouvait pour me rendre compte qu'il était parti et que je ne pouvais pas le re-défier.

    Le jeu commençait à être ennuyeux maintenant,Pas de pognon, ni d'objets, ni de pokédex, et impossible de combattre des pokémons sauvages. Heureusement, Une fois avoir rejoint la route 30, il y eut d'autres dresseurs pokémon que je pus vaincre sans trop de problèmes…bien qu'aucun d'entre eux ne voulaient me parler après mes victoires.

    En entrant à Violet City, mon pokémon avait un niveau encore trop faible pour s'attaquer au champion d'arène. Mais avec le pognon gagné avec les autres dresseurs, J'ai pu acheter des potions, alors je me sentis confiant.

    Les dresseurs de l'arène étaient assez faciles, Je n'ai utilisé que deux de mes potions et j'ai grimpé d'un niveau. Mais quand je passai au champion, il m'a taulé et j'ai perdu. Avec sa victoire, il fit la même chose que Gold…il sembla déçu.

    Après la bataille, pas de fondu au blanc, à la place j'ai eu droit à toute une leçon sur comment bien traiter un pokémon. Une fois fini, Il me posa une question à choix avec un simple mot : ‘Voler ?’

    Je choisis la seule option possible, ‘Oui’.

    Silver fit un pas en arrière et fonça sur le champion, le faisant tomber en arrière. Un message me dit que j'avais obtenu le badge, la CT31, et 500 poké$.

    Après ça, je partis.

    C'est comme ça que le jeu continua, alors que je pouvais vaincre certains dresseurs, je perdais constamment face aux champions et j'étais forcé de leur voler leurs badges. L'option 'voler' marchait aussi sur les gens qui donnent normalement des objets et c'est comme ça que j'ai eu des objets clés comme le vélo et tout ça…Ils refusaient de me donner quoi que ce soit autrement.

    Tous ceux à qui je parlais une fois ne me reparlaient plus, me saluant juste d'un “…” ou me faisant une leçon sur comment traiter les pokémons…ça commençait à faire pareil avec l'infirmière Joelle aussi. En arrivant à Doublonville, à chaque fois que je partais, elle me grondait.

    Les Pokémon continuaient à m'éviter aussi, si je voulais améliorer mon équipe il fallait espérer que mes pokéballs marcheraient du premier coup. Le plus étranges avec ces batailles est que, même si je les bloquais avec Regard Noir, le pokémon tombait KO. Littéralement. Après mon premier Regard Noir – Si je commençais le tour, des fois le pokémon était plus rapide -, avant de pouvoir en choisir une autre, le pokémon tombait KO tout seul.

    le message disait, “-POKEMON- s'est mis KO tout seul !” et la bataille se finissait.

    La seule chose qui se passait normalement c'était les batailles avec la Team Rocket. Je gagnais toujours face à eux et ils me traitaient comme un gamin en travers de leur chemin.

    Le reste du jeu n'est pas important jusqu'à un certain moment. Mis à part les victoires, défaites, et vols, tout était plus ou moins normal. Alors que mon pokémon maturait très lentement à cause des défaites fréquentes, ils commençaient à m'aimer un peu en leur donnant des coups de cheveux ou des objets qui les boostaient. La dernière fois que j'ai regardé, la personne qui évalue le bonheur d'un pokémon – une des rares personnes à me parler normalement - a dit “C'est plutôt mignon.”
    Je sais que vous vous dites que ce n'est rien, que c'est simplement un hack qui raconte l'histoire vue par Silver…Enfin, je le pense et l'ai vu, mais ce n'est pas fini encore.

    Une fois arrivé à Kanto - en continuant la série victoire-défaite-vols -, J'arrivai à Jadielle. A la seconde où je fis un pas dans la ville, la musique s'arrêta. J'ai pensé à un simple bug dans la programmation. Mais en restant là un moment, un son faible se fit entendre et partit.

    J'étais maintenant sur que la musique était buggée, comme si elle essayait de se jouer, mais ne pouvait pas. Mais en revenant sur mes pas hors de la ville, la musique reprenait sans problème…Il n'y avait que Jadielle de silencieux.

    J'étais curieux, alors j'entrai dans la ville silencieuse pour explorer. Il n'y avait personne…Personne dehors, ni dans les maisons, ni même dans le magasin et le centre pokémon. La ville était déserte…juste le silence et ce faible bruit non-identifié.

    En allant dans l'arène du champion, le son augmenta de volume progressivement. Je compris que le son provenait de l'intérieur, alors je suis entré. Il n'y avait personne, toujours, mais je m'y attendais, l'arène est vide la plupart du temps, sauf vers la fin du jeu.

    Le son ne se jouait plus, c'était toujours le silence.

    J'avançai vers l'endroit où se trouve le champion en temps normal, et dans le mur de briques – je fais ça parfois, j'aime bien le bruit - j'étais transporté dans une autre salle…Le mur cachait des escaliers.
    L'endroit était aussi silencieux…mais le bruit recommença. Il était à un volume vraiment plus fort, très aigus et jouant au hasard…ça ressemblait à des cris.

    A ce moment, vous l'imaginez, mon coeur battait…Je ne prend pas très bien les cris – ou les sons qui y ressemblent - à cause de mon expérience avec une maison hantée très graphique quand j'avais 3 ans…mais je divague.

    Sans prendre garde à mon coeur et mes mains qui tremblaient, J'explorai la salle…qui était teintée de rouge comme dans Pokémon Rouge. La salle suivait un zigzag latéral et les 'cris' venaient au hasard, certains courts, d'autres longs…On aurait dit que quelqu'un était torturé.

    En continuant dans les couloirs zigzagués, je passai devant des images dérangeantes ; des sprites de NPC décapités, des têtes sans corps aussi. Quand j'essayai d'examiner les corps, Silver disait “Ne pas regarder…”

    Les corps et les têtes devenaient de plus en plus nombreux au fur et à mesure que j'avançais, ne me laissant qu'un petit chemin pour pouvoir avancer sans être bloqué…et les hurlements devenaient de plus en plus fréquents.

    L'écran commençait à sauter à chaque pas, comme si un de mes pokémons était empoisonné…mais aucun d'eux ne l'était. Au cas où, je jetai un oeil sur mon équipe. Aucun n'était empoisonné, mais leur santé baissait toute seule. Je tentai de les soigner avec une super potion.

    Un message me dit “Cela ne fera aucun effet.”

    Maintenant je commençais à me sentir mal, Je savais que ce n'était pas supposé arriver. Malgré ça, je continuai, espérant que s'ils tombent tous KO, je serai de retour au centre pokémon et que tout redeviendrait normal.

    …C'était si stupide de ma part d'avoir pensé ça…

    Je continuai dans ce chemin glauque, l'écran sautant toujours. Finalement, Silver s'arrêta et le message disant "Tous vos pokémons sont KO" allait apparaitre…mais il n'a pas dit ça…

    Il a dit ‘TOUS MORTS’.

    A présent, j'étais à deux doigts de pleurer, mais il fallait que je voie la fin de cette expérience déprimante…Si je ne le fais pas maintenant, je serais tenté de réessayer un jour…

    Finalement j'arrivai à la salle centrale, qui était teinté d'un rouge profond…j'imagine que c'était pour simuler le fait que la salle était pleine de sang, cependant il y avait peu de corps. Au centre, quelques formes vivantes, un homme, un pokémon, Gold, et un autre pokémon qui était apparemment un Typhlosion.

    Le Typhlosion de Gold attaquait le pokémon de l'homme, mais il n'avait pas l'avantage, son sprite vira au rouge, puis au gris, puis disparut…le pokémon de l'homme l'a tué.

    Le sprite de Silver fit un pas en avant tout seul et l'homme remarqua sa présence.

    "GIOVANNI: Ah, fiston, tu es arrivé. Tu es venu voir la défaite de ton rival, n'est-ce pas ?"

    Cela fit tourner Gold pour me regarder ; il dit simplement “…”

    Silver continua de bouger tout seul ; il s'approcha de l'homme et fonça sur lui pour le faire tomber…Ce qui enragea Giovanni évidemment.

    "GIOVANNI: Tu veux l'aider ? HA ! Tu es devenu aussi faible que les autres ! Si sa vie vaut mieux que la tienne…peut-être devrais-je te montrer qu'il n'y a pas de sens à l'attachement ! MEWTWO, occupe-toi d'eux !"

    Mewtwo obéit à son créateur et s'approcha de Gold. Je ne suis pas certain de ce qu'il a fait exactement, mais il frappa Gold, lui arrachant un cri encore plus fort qu'avant alors que le sprite du rival de Silver perd sa tête et fondit au rouge et au gris.

    "GIOVANNI: Je te l'ai déjà dit, Silver, les Pokémons ne sont que des outils ! Les gens aussi. Utilise-les et jette-les une fois qu'ils t'ont servi. MEWTWO, tue le !"

    Le Mewtwo refusa d'obéir cette fois ; Les mots de Giovanni ont du l'énerver. Il se tourna vers lui et lui parla.

    "MEWTWO: …Tu n'es plus d'aucune utilité…"

    Il frappa Giovanni comme pour Gold et Typhlosion, mais le hurlement de Giovanni était bien plus long que tous ceux que j'ai entendu dans le jeu…Mewtwo le torturait.

    Finalement, le cri fondit en silence et le sprite de Giovanni fit comme celui de Gold…laissant Silver et Mewtwo vivants dans la salle. Alors que Mewtwo me fit face, je savais que je n'avais aucune chance.

    "MEWTWO: …Pas utile…"

    Il me frappa, démarrant un combat que je ne pouvais pas faire. Mon sprite était à la place de celui de mes pokémons, mes HP était pleins, mais je savais que ça ne changerait rien. Je choisis de fuir, mais je ne pouvais pas…Je choisis attaquer, mais il n'y avait rien à faire…Je ne pouvais que rester là à laisser Mewtwo utiliser Psyko sur l'image sans défense de Silver.

    Même avec le volume reglé à un niveau bas, le ‘hurlement’ venant de Silver était dérangeablement fort. Alors que l'écran principal revint, le cri continua jusqu'à ce que le sprite de Silver passe du rouge au gris – ce qui, je le pense, symbolise la froideur de la mort -…Silver, avec Gold et tous ceux qui ont eu l'infortune de visiter cet endroit caché de Jadielle, étaient morts.

    L4écran fondit au noir, laissant visible le sprite de Mewtwo, au centre de l'écran. Mon instinct parano m'a immédiatement fait penser que j'étais le prochain, mais le mot ‘FIN’ apparut en fondu sous lui et l'écran coupa au noir, me ramenant à l'écran titre.

    Je ne sais pas pourquoi ça a été fait, pourquoi quelqu'un a vendu sur cartouche un hack pareil, et pourquoi je suis tombé dessus…Mais je vous assure que, de tous les jeux que j'ai trouvé au hasard…même si c'est neuf, je n'y toucherai plus jamais.

    Le jeu que je vous ai décrit, je ne le possède plus…Je ne sais plus où il est, mais j'espère profondément qu'il est en train de pourrir quelque part dans une décharge...


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  • Mon lapin, bonjour, bonsoir, quelle que soit l'heure qu'il est chez toi, je suis CONTENTE. Non, je fais pas toujours la gueule. Bordel.

    Tu dois savoir que j'aiiiiime écrire. Mais vraiment. Et j'ai déjà eu des dizaines et des dizaines (on peut parler de centaines si ça te chante) de projets de fanfictions, de nouvelles, de romans, de tout ça. Et j'ai jamais rien terminé. Oui, je dois véritablement être la personne la plus bipolaire au monde, puisqu'il m'arrive très fréquemment de me donner à fond dans un projet en ayant la certitude que je le finirai un jour, pis de perdre toute ma volonté le lendemain. Du coup j'ai des tas de cahiers et de documents Word qui pourrissent un peu partout et qui auront jamais aucun avenir. Une minute de silence pour les carnets sans emploi.

    Comme toujours je ponds des phrases de dix kilomètres pour combler le vide, mais là j'ai un vrai un projet de fanfiction que je compte poster à l'occasion sur un tout nouveau blog (il encore hors-ligne, mais je te mets le lien très très prochainement dans le Terrier du Lapin Blanc, alors garde l'œil ouvert). Enfin quand je dis fanfiction, je me demande si on peut pas la considérer comme une simple fiction... Pour être claire, quelques personnages qui y sont présents sont inspirés de trrrrrrès près de personnages déjà existants. Physique identique, ou presque, même chose pour le caractère, mais j'ai inventé chaque noms et le background. Du coup on peut parler de fiction, je suppose.

    Alors avant de te réjouir, faut savoir que ce sera pas demain la veille que tu pourras la lire. J'ai un projet d'écriture en ce moment qui est UN PUTAIN DE TANTINET plus sérieux. J'écris un bouquin bitch  Et j'aimerai pouvoir le finir avant les vacances de juillet. Si possible. Donc, au plus tôt (ouais au plus tôt, t'as jamais entendu ça), tu liras tout ça pendant les vacances. Mais je te promets que le roman en vaut la peine. Enfin j'espère parce que je bosse dur.
    Et en ce qui concerne le scénario de la fiction (et quelques informations non négligeables), il sera posté avec le lien vers le nouveau blog quand j'aurai un moment. Quand il sera ouvert, je pourrai juste écrire les présentations des personnages principaux, qui, je le dis, contiendront un nombre incalculable de spoils, alors à tes risques et périls. J'ai pas envie de bâcler un ou deux chapitres à la va-vite puis de plus rien faire pendant des mois entiers. J'ai envie d'être régulière quoi !
    Et si ça te botte et que t'es sage, peut-être bien que je posterai le prologue et le premier chapitre de mon roman .-. Bref, que des belles choses.

    Ah ! J'ai faillis oublier !
    BONNE ANNAY !
    TOI MÊME TU SAY !
    POSAY DANS TON CANAPAY !
    AVEC TON CITRON VIOLAY !


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  • Guilty Temptation (clique)

    A peine deux secondes de retard !
    Mon lapin, tu n'auras pas attendu bien longtemps le lien du nouveau blog. Si on t'a pas encore mis au courant, t'as loupé un épisode, et c'est ici que ça se passe pour plus d'infos.
    Bien, maintenant que c'est fait, tu dois encore connaître deux trois petits détails qui vont peut-être  te ramener sur terre. Tu auras tout le temps de lire le premier article du blog, mais je préfère prévenir ici aussi : y aura. Du sexe. J'ai pas envie de te dire "modérément", ou "une fois dans toute la fiction" et "ce sera gentil et mignon", parce que ce serait du mytho. J'aborderai aussi les sujets qui fâchent, à savoir l'homosexualité, la transsexualité, l'inceste, la polygamie et plus si affinités *sbaf* Enfin bref, je sais que ça va peut-être rebuter. Sans doute. Mais Guilty Temptation n'est PAS un vulgaire porno sans scénario, avec des personnages sortis tout droit de l'anus d'un poney, un univers sous-développé, et une bande de gamins de moins de dix ans qui s'envoient en l'air dans une gare désaffectée (quoi, qui parle de sous-entendu ? o/) Guilty Temptation, c'est une histoire d'amour. Un peu trash sur les bord, okeh, mais ça c'est ma marque de fabrique. C'est exactement le même délire que Lovely Wonderland, si tu t'en souviens encore ;_; *plore comme un kak* Tu vas pas faire lire ça à ton petit cousin de huit ans, mais toi, honnêtement, si t'as plus de douze ans... Tu peux le faire à tes parents le coup du "Daddy, what is sex ?", mais moi je marche pas. Je suis sûre que si quelqu'un crie "bite" très fort dans la cour de récré t'es le premier à te marrer comme une baleine. Petit cochon ewe

    C'est pas pour me justifier que je dis tout ça, loin de là, j'ai pas à le faire d'ailleurs parce que j'écris ce que je veux. Mais je me voyais vraiment très mal rédiger une fiction qui parle de tout ça sans mettre des scènes de sexe, faut me comprendre. C'est plus du tout le sujet là, mais pour moi, la sexualité est diabolisée : c'est un tabou des plus injustifié. Ah jsuis une hérétique, j'assume totalement et je m'en branle. Alors je le redis (enfin rereredis si t'as tout suivi lel), Guilty Temptation c'est une HISTOIRE D'AMOUR tout ce qu'il y a de plus normal. Si tu es ouvert d'esprit. Lalala, polémique es-tu là ?

    Bon mais comme dit, si jusque là t'es toujours intéressé tu vas devoir refouler tes ardeurs jusqu'à juillet petit cochon. En attendant, si vraiment tu veux garder l'effet de surprise jusqu'au bout, je te déconseille du plus profond de mon être de ne pas lire les présentations des personnages. Rien qu'avec mes histoires d'inceste, de polygamie, et tout le merdier, j'ai commencé à spoiler sévère. Enfin bon, des bisous.

    Guilty Temptation


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  • Soyons clairs, nets et précis sur un point très important mon lapin bonjour : je n'aime PAS Suicide Mouse. Je trouve cette creepypasta grossière, pas effrayante pour un sou, et pourtant elle a été élevée à un rang de légende urbaine des plus cultes. Je peux tout accepter, réellement, mais ce genre de choses me dépasse. En guise d'information. Peut-être que si tu regardes la vidéo seul chez toi, la nuit, dans le noir, t'auras les chocottes .-. Donc l'histoire originale se trouve ici, sans vouloir déranger tes petites habitudes. Et prends garde aux corbeaux, surtout les corbeaux. Les corbeaux vont dominer l'univers. LES CORBEAUX PUTAIN.

    _____________________________________________________________________________

    Vous vous souvenez des cartoons de Mickey Mouse des années 1930 ? Ceux sortis en DVD il y a quelques temps ? Il y en a un qui n'est jamais sorti, même pour le plus hardcore des fans de Disney. D'après les sources, c'est rien de spécial. C'est juste une boucle continue de Mickey qui marche (dans le même genre que les Pierrafeu) qui dure deux trois minutes avant de faire un fondu au noir. Au lieu des chansons mignonnes de ce genre de cartoons, la chanson de celui-là n'en est pas vraiment une, juste du bruit comme si quelqu'un cognait sur les touches d'un piano au hasard pendant 1min30 avant d'avoir du bruit pour le reste. ce n'est pas le bon vieux joyeux Mickey qu'on aime, non plus, Mickey ne danse pas, ne sourit même pas, il marche comme vous et moi, avec une expression normale au visage, Mais pour une raison inconnue, il tourne sa tête de droite à gauche. Jusqu'à un an ou deux, tout le monde croyait qu'après le fondu au noir c'était tout. Quand Leonard Maltin révisait le cartoon pour l'inclure dans la série complète, Il a décidé que c'était trop pourri a mettre en DVD, mais voulait tout de même une copie digitale car c'était malgré tout une création de Walt. Quand il a fini de le numériser, il remarqua quelque chose. Le cartoon faisait en fait 9 minutes et 4 secondes. Voici ce que ma source m'a envoyé, en entier (C'est un assistant d'un des plus hauts dirigeants de Disney, et de Mr. Maltin en personne).

    Après la coupure au noir, ça reste ainsi jusqu'à la 6ème minute, avant de revenir sur Mickey marchant. Le son était différent. C'était un murmure. Ce n'était pas un langage, mais plutôt un pleur étranglé. Alors que le bruit devenait de plus en plus fort et confus à la minute suivante, l'image commence à devenir bizarre. La marche commença à partir dans des directions qui semblaient impossible d'après la physique de la marche de Mickey. Et l'expression neutre de Mickey se changeait en sourire malsain. à la 7ème minute, le murmure se transforme en un hurlement horrible (le genre qui fait mal à entendre) et l'image devenait de plus en plus obscure. Des couleurs apparaissent alors que c'était impossible à l'époque. Le visage de Mickey commence à tomber en morceaux. ses yeux roulent au bas de son menton comme deux billes dans un bol, et son sourire incurvé se déplaça en haut à gauche de sa tête. Les buildings semblaient flotter en l'air et la marche était toujours impossible à imaginer comme ça, inconcevable pour ce que nous, humains, savons de la marche. Mr. Maltin s'est senti mal et a quitté la salle, envoyant un employé pour finir la vidéo et prendre des notes sur tout ce qui se passe jusqu'à la dernière seconde, et a immédiatement mis le disque du cartoon sous clé dans un coffre. Le hurlement continue jusqu'à la 8ème minute et des poussières, et ça coupe abruptement sur la tête de Mickey Mouse des crédits de fin de chaque vidéo avec en arrière plan le bruit d'une boite à musique cassée. il reste plus que 30 secondes à ce stade, et peu importe ce qu'il y a après, je n'ai pas pu avoir plus d'informations. D'après un vigile qui faisait sa ronde à l’extérieur de la salle, il semblerait qu'à la dernière image, l'employé trébucha hors de la salle tout pâle en disant "la vraie souffrance est inconnue" sept fois avant de prendre le flingue du vigile et commettre son suicide. L'info que j'ai pu avoir de Leonard Maltin était que la dernière image était une page en russe qui disait vaguement "Le spectacle de l'enfer ramène ses voyeurs là-bas." A ce que je sais, personne ne l'a vu a part lui, mais plusieurs employés de Disney ont tenté de s'approprier la vidéo sur Rapidshare, tous ont rapidement arrêté leur emploi. Si vous trouvez ce film, ne le regardez pas.

    (comment ils ont fait pour enregistrer ce merdier, pose-toi sept fois la question à l'envers assis sur un grille-pain et alors le Père Noël sortira du miroir de ta salle de bain pour voler ton âme et tuer toute ta famille.)

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  • Titre : Splatter Party
    Artiste : Miku Hatsune

     

    ("Ran ranra ranranran"...

    "Ranranranran ranranran"...)
     
    Dosuguroi chi shitataru tori tsukareta yō ni (zip zap zip zap)
    Jōshiki o fuminijiru beni ni nureta heel (zip zap zip zap)
     
    Wareta garasu no ue de step o fumeba (zip zap zip zap)
    Kawaī sono hitomi eguridashinagara waraimasho
     
    Hitorizutsu zutazuta ni kirisaku oningyō
    Chikarō no mizutamari ni utsutta shinigami no silhouette
    Chainsaw ga hane tobasu chi shibuki hada o tsutatte
     
    "Sā, party no jikan da yo!"
     
    ("Ran ranra ranranran"...
    "Ranranranran ranranran"...)
     
    Kowareta televi terasu ā kurutta yō ni (zip zap zip zap)
     
    Jōshiki ga fuhai shite yokubō no mama ni (zip zap zip zap)
     
    Aoi kami ga hoshī ka akai kami nara sugu (zip zap zip zap)
     
    Kokoro made issho ni kirikizaminagara odorimasho
     
    ("Ran ranra ranranran"...
    "Ranranranran ranranran"...)
     
    Hitori zutsu ikenie ni sasageru ohime-sama
    Sabitsuita tetsukusari hosoi ashi ni kataku karamitsuki
    Chainsaw no unaru oto himei o kakikeshite
     
    "Sā, party no jikan da yo!"
     
    ("Ran ranra ranranran"...
    "Ranranranran ranranran"...)
     
    ("Ran ranra ranranran"...
    "Ranranranran ranranran"...)

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  • Promis cette fois-ci j'écris pas pour rien dire, tape-moi pas plz.

    Bon je suppose que si tu lis cet article tu viens pas tout juste d'arriver, donc tu sais qu'il y a déjà eu pas mal de changements sur My Wonderland concernant les rubriques et les thèmes abordés. On a laissé tombé le Jardin des Cartes *cry in a mothafucking corner* et on a regroupé le reste dans le Terrier, autant dire qu'on a gagné pas mal de place. (oui parce que tout ça c'est pour libérer le passage) Et maintenant le blog se retrouve principalement avec des creepypasta. Ouais, parce que l'Animalerie traite de creepypasta dans un sens, enfin du moins je les considère comme telles, et je n'écris plus DU TOUT sur des instruments de torture, à mon immense regret d'ailleurs. Alors la première chose que je voudrais faire (là tu peux me taper si ça te plait pas) c'est changer le nom du blog pour le remplacer par quelque chose de plus explicite, Creepy World ou Creepyland, à titre d'exemple. Bon là je dis de la merde mais tu vois un peu dans quel délire faut que ça soit.
    L'idée serait de déplacer le nombre ridicule de cryptides vers la partie creepypasta, et concernant la torture on avisera encore. Soit je continue d'en écrire, mais de façon totalement anarchique et ponctuelle, un peu comme en ce moment, et dans ce cas ce sera dans le Terrier. Parce qu'une rubrique dans laquelle y a que trois articles pour l'instant ne mérite pas une place aussi grande sur le blog à mon avis.
    Ou bien on laisse complètement tomber la torture pour que je puisse me concentrer uniquement sur les creepypasta. Pour ça, pas envie de trancher, je te laisse le soin de me guider et de me dire ce que tu préfères.

    A la suite de quoi le blog sera renommé, et ça c'est presque sûr à 100%. A l'époque des débuts de My Wonderland, il y avait encore beaucoup d'activités en dehors des pasta, mais maintenant qu'il y a presque plus que ça qui marche encore, My Wonderland, limite c'est hors-sujet comme titre... Il y aura donc très prochainement quelques petits changements ici. Ca peut paraître un peu inutile d'écrire une new juste pour ça, mais ça me semble important de prévenir, parce qu'après je risque encore de me faire engueuler derrière parce que j'ai supprimé des trucs importants, ou je sais pas trop quoi d'autre o/
    Sur ce, des bisous et sois sage.


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  • Titre : The Spook
    Artiste : KSHMR


    They said he wasn't real
    They said he wouldn't come back
    But this isn't a dream
    And there's no running from
    The Spook

    Don't be scared

    Come little children
    I'll take you away
    Into a land of enchantment
    Come little children
    The time's come to play
    Here in my garden of magic

    Don't be scared


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  • Mon lapin Bien souvent je suis prise de drôles d'envies, aussi soudaines qu'elles sont étranges. Pas de quiproquo, tu seras gentil. Je te parle aujourd'hui de l'envie de poster le prologue de Dollhouse, le roman que je compte publier, parce que ça fait très, très longtemps que je veux écrire un livre. Je veux dire un vrai livre, avec une belle couverture et des pages en papier qu'on tourne avec le pouce et l'index droits.

    Bon, avant de te laisser dans le flou j'aimerai bien procéder à quelques explications, comme la répartition des chapitres peut être un peu spéciale : le prologue que tu vas lire s'appelle "Retrace I : Ashley". Et logiquement tu vas te demander pourquoi.
    Dans Dollhouse, en dehors du personnage principal, il y a quatre protagonistes TRES importants. Ceux-ci sont scolarisés dans un internat créé spécialement pour pouvoir prendre en charge des enfants handicapés, dans tous les sens du terme. Chacun d'entre eux a droit à trois Retraces, des sortes de chapitres flashback, qui vont donc parler d'évènements de leur passé. Et le "passé", c'est tout ce qui se passe avant que le personnage principal rencontre les autres protagonistes. Clair ?
    Si oui tant mieux, si non tant pis. Il est hors de question que j'en dise plus sur l'histoire, sous peine de voir l'intrigue totalement spoilée. Alors pour le moment, pour toi il n'y aura rien que le prologue, un peu comme la démo pourrie d'un jeu payant :D Laul.

    Du coup voilà le lien du chapitre : (LIEN)
    Bonne lecture


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  • Retrace I : Ashley

     

    XX32
    Lundi 25 novembre

    -Je me demande à quoi elle ressemble. Tu penses qu’elle vient pour les mêmes raisons que nous ?
    Ashley haussa les épaules, indifférente. Confortablement allongée sur son matelas et plongée dans la lecture de son roman, elle se contenta de jeter un simple coup d’œil en direction de Lyn, qui était assise sur le rebord de la fenêtre de leur chambre, attendant patiemment l’arrivée de la nouvelle venue.
    -Nous avons sans doute besoin d’un peu de sang neuf dans la bande, poursuivit la petite brune en collant son front contre la vitre glacée, enfin, je présume…
    -C’est amusant que tu dises ça, remarqua Ashley avant de tourner la page de son livre, on dirait presque que tu te forces.

    Les loups tuent les lapins. Ils les dévorent. S’en délectent. Ainsi sont faites les choses, depuis la nuit des temps.
    -Suis-moi. Je jure de ne pas te faire de mal. Tu seras en sécurité là où je t’emmène.

    Telles sont les paroles du prédateur affamé au lièvre égaré, qui, perdu au milieu des congères et transi de froid, n'a d'autre choix que de le suivre avec une candeur forcée tout en opinant du chef. Le pauvre ne sait que trop bien qu'il n'a dans la tanière du doucereux prédateur qu'une place de succulent amuse-gueule. Qu’il est amusant ce lapin ! Frêle créature tremblotante et inoffensive, cachant sa faiblesse en montrant ses deux petites incisives, à peine assez tranchantes pour mâcher une feuille de laitue. Et ce loup, qu’il peut être idiot ! A faire le beau et à remuer la queue comme un chien docile, luttant contre la faim lui tenaillant les viscères à la vue de ce blanc lapereau errant sans défense.

    -Ça se voit à ce point ?, ricana amèrement Lyn tandis ce qu’une auréole de buée commençait à se former sur le verre sous ses narines, j’aurais tant voulu qu’on finisse cette année juste toutes les quatre, avant qu’on se sépare pour de bon.
    -Il n’y a aucune raison qu’on se sépare, voyons !, s’exclama son amie en étouffant un petit rire, pourquoi dire des choses pareilles ? Nous allons nous rendre dans une école et terminer nos études, comme le font tous les gens de notre âge.
    Haussant un sourcil d’un air sceptique, la petite brune laissa Ashley sans réponse le temps de pousser une long bâillement sonore qui fit sourire cette dernière avec tendresse.
    -Honnêtement, tu crois à ce que tu es en train de dire ?
    Après un court instant de silence suivant la question de Lyn, la jeune fille aux longs cheveux aile de corbeau posa précautionneusement son livre sur sa couette, poussant un triste soupir aux accents de résignation.
    -Jamais nous ne ferons comme les gens de notre âge, insista son interlocutrice, et tu le sais très bien.
    -Pourquoi pas, après tout ?

    Le lièvre eut beau être des plus courageux, et le loup des plus aimants, la triste loi de la nature n’épargne aucun individu, quel qu’il soit. Les loups tuent les lapins, ainsi sont faites les choses, depuis la nuit des temps. Un loup, incapable, après avoir quitté sa meute d’assassins, de croire en l’acte qu’il venait de commettre, et un lapin, coupable à la fois de s’être montré trop naïf, et trop sûr de lui. Le plus beau des duos, déchiré par l’implacable réalité du tueur et du tué, du meurtrier et de la victime, du Diable et du pêcheur. Rien n’aura su déranger le déroulement d’un odieux code, d’une farce créée de toute pièce par une force supérieure ordonnant la mort des plus faibles pour le confort des plus puissants.
    Et le loup tua le lapin.

    -Je prendrai aussi une douche avant son arrivée, reprit Lyn en s’étirant longuement, faisant craquer les phalanges de ses doigts.
    -Tu en as prise une tout à l’heure, s’étonna Ashley, tu as déjà oublié ?
    -Non, simplement je me sens… sale.
    Elle tira comiquement la langue en se pinçant le nez comme pour mimer une mauvaise odeur, dans une piètre tentative de détendre l’atmosphère. Voyant immédiatement que sa prestation ne faisait pas rire sa camarade de chambre, elle retrouva promptement son sérieux et éloigna son crâne du carreau de la fenêtre.
    -Je pense que je ne vais pas perdre plus de temps dans ce cas, souffla-t-elle d’une petite voix en époussetant sa longue jupe sombre après s’être relevée, je n’en ai que pour quelques minutes.
    Elle se dirigea d’un pas chaloupant vers la porte de leur salle de bain, passant devant le lit d’Ashley qui la regardait d’un air interloqué. Lorsque Lyn l’eut presque dépassée, la jeune fille se redressa soudain sur son lit, le dos raide.
    -Lyn, lui intima-t-elle en posant avec douceur la main sur son bras, sois gentille avec elle. D’accord ?
    -De qui tu parles ?
    Ashley, en entendant ces paroles néanmoins prononcées avec automatisme, ne put s’empêcher de faire les gros yeux à son amie, qui posa un doigt sur sa bouche d’un air fautif.
    -Si elle l’est avec moi, répondit Lyn en s’autorisant une discrète œillade, je n’ai aucune raison de maltraiter cette pauvre fille.
    Elle décocha son plus beau sourire, si radieux et éblouissant qu’il aurait presque pu paraître sincère aux yeux de celle qui la connaissait désormais par cœur. Elle avait dû s’entraîner dur avant de parvenir à se montrer aussi heureuse.
    Si, tu as même des tas de raisons
    , songea tristement Ashley en réagissant immédiatement à son sourire, lui adressant le sien en retour, tu le sais mieux que moi, Lyn Brooks.
    Tentant du mieux qu’elle le pouvait de ne pas se montrer aussi sinistre qu’elle l’était réellement, la jeune asiatique donna une petite tape amicale dans le dos de la fillette, qui se retira par réflexe.
    -Dépêche-toi de prendre cette douche si tu y tiens, s’exclama-t-elle d’une voix énergique en quittant sa couchette, la nouvelle recrue ne va sans doute pas tarder à arriver.
    Hochant vigoureusement la tête, et faisant danser ses épaisses boucles brunes contre ses petites joues rondes recouvertes de son, Lyn s’empressa de franchir les quelques pas qui la séparait de la porte de la salle de bain, puis y pénétra sans demander son reste.

    Aussi longtemps que le loup fixa en hurlant de douleur la carcasse de son défunt frère animal, rien ne bougea. La dépouille du lapin resta à l’état de dépouille, exposant sur la neige rose de sang son ventre encore recouvert d’un duvet juvénile, ouvert sur ses petites entrailles molles à moitié dévorées. Ses grands yeux sombres sans vie semblaient persister à fuir le regard du meurtrier, emplis de rancœur et d’une déception amère. L’égoïsme insensible de tout être vivant finit toujours par faire le ménage : la survie de l’un contre le sacrifice de l’autre.
    Et le loup tua le lapin.
    Ayant à peine terminé de festoyer sur les restes de son ami devenu repas, le cannibale en deuil fut un bien vite emporté au loin par les vents glaciaux de la mauvaise saison qui n’eurent aucune pitié pour le pauvre animal. Sans pouvoir protéger ou se protéger, aveuglé par la faim et le froid, la bête sauvage n’aura finalement pu résister à la tentation. Promettant un avenir radieux sous un chaud soleil d’été, à n’en plus finir des roulades dans l’herbe grasse et verte à souhait, ne se contentant que d’amour et d’eau fraîche comme n’importe quelle petite créature pure et pacifique.
    Dès les premiers flocons venant fondre contre sa truffe, dès les premières rafales de vent, l’avidité cupide commençait déjà à le dévorer.

    -Elle sera bientôt là…, murmura Ashley pour elle-même, les yeux rivés vers l’extérieur.
    Comme Lyn avant elle, elle regardait désormais en direction du sentier de gravier duquel la nouvelle élève devait arriver. Campée sur ses jambes, droite comme un piqué et les bras croisés sur sa poitrine, la jeune fille comptait attendre dans cette position jusqu’à ce qu’une voiture franchisse la grille pour s’introduire dans le domaine du Foyer.
    La classe des élèves de quatrième année n’avaient reçu presque aucune informations sur cette fille : on les avait prévenus du jour au lendemain, qu’une personne venue tout droit d’un collège public de la ville allait intégrer la classe dans peu de temps. Et que Lyn et Ashley partageraient leur chambre avec elle.
    Face à cet individu sorti tout droit du monde extérieur, la jeune fille voulait à tout prix renvoyer l’image d’une adolescente normale, avec des amies normales. Elle serait une collégienne simplement un peu trop sérieuse et Lyn aurait sa personnalité faite de bonheur aveugle et de sourires. Elles diraient que Briana avait un caractère exécrable, et que Clémentine était une jeune fille très timide et renfermée. Elles devront être comme tous les gens de leur âge.
    Serait-ce elle ?, se demanda soudain Ashley en sentant son cœur rater un battement dans sa cage thoracique.
    Les imposantes grilles de l’entrée venaient tout juste de s’ouvrir sur une Coccinelle mauve, qui avançait lentement en cahotant sur l’étroit chemin au milieu duquel se tenait Mrs Baker, une vieille pie de surveillante générale.
    Dans cette voiture se trouvait la nouvelle camarade d’Ashley. A cette pensée, elle sentit son rythme cardiaque s’accélérer et son ventre se nouer. D’un coin de la manche de son gilet, elle chassa la condensation qui était apparue sur tout le carreau de la fenêtre devant laquelle elle se tenait.
    De la voiture qui se trouvait à présent à l’arrêt émergèrent deux personnes ; la chambre de la collégienne se trouvait relativement loin des portes, et malgré le fait que la vue était dégagée, elle avait beaucoup de mal à discerner avec précision ce qui se déroulait là-bas. Elle put néanmoins identifier un homme, sorti du côté conducteur, et une fillette sur l’autre siège avant. Elle paraissait plus jeune vue d’ici, mais lorsqu’elle vint se placer aux côtés de l’homme qui clopinait vers Mrs Baker patientant quelques pas plus loin, Ashley se rendit compte qu’elle était presque aussi grande que lui.

    Dès les premiers flocons venant fondre contre sa truffe, dès les premières rafales de vent, l’avidité cupide commençait déjà à le dévorer. Ouragans rapaces et cyclones d’avarices, tourbillons sordides et abyssaux maelströms, promesses de l’authentique hiver du loup, ne pensant plus qu’à se remplir la panse, jusqu’à ce que finalement le printemps vienne le sauver de cet enfer de gel.
    Oublié le lapin et oublié l’été sans fin, il n’y avait plus maintenant que lui et les lourds glaçons qui pendaient à son épaisse toison, se confrontant aux caprices des saisons et du creux dans son ventre vide. 

    La douche s'était mise en route dans la salle de bain. Ashley entendait l'infinité de gouttelettes s'écraser contre le sol carrelé, puis s'écouler petit à petit dans un bruit de succion.
    -Pas de doute, se réjouit-elle à voix haute sans pouvoir s’empêcher de lâcher un étrange rictus, voilà notre chère, très chère Eleanor Cooper. Enfin nous allons faire connaissance…
    Une violente bourrasque balaya le parc du Foyer, faisant vibrer le verre de la fenêtre en parvenant à la hauteur des dortoirs.
    -Si tu savais comme il me tarde de te rencontrer…, poursuivit-elle sans quitter des yeux les trois personnages s’échangeant de polies poignées de main, Eleanor Cooper… Nouveau petit pantin de bois dans notre jolie maison de poupée…

    L’hiver était venu.


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  • Titre : Yandere Lovin
    Artiste : CruciA Do or Die


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  • Oui, en effet, c'était mon choix de supprimer certaines creepypasta. Oui, c'est vrai, celle-ci en faisait partie. Eh bah je m'en contre-bas les kouilles, je la remet pour le plus grand plaisir de tes yeux.

    FUCK IT AAAALL ! FUCK IT AAAALL !
    DON'T GIVE A SHIT ANYMORE !

    (the shit here.)
    _____________________________________________________________________________

    Bonjour.

    Je poste aujourd'hui un message sur ce site car je suis en quête de réponses. J'ai emménagé il y a tout juste deux mois dans mon nouvel appartement. Il y a environ une semaine, j'ai décollé le papier-peint pour peindre les murs, et je me suis rendu compte qu'à un endroit le papier-peint dissimulait un trou, dans lequel j'ai trouvé un carnet. Le trou était profond dans le mur, mais l'épaisseur du carnet comblait sa largeur, ce qui rendait le trou absolument invisible une fois recouvert.

    Il n'y a aucun nom, ni aucune date dessus. Je n'en ai pas parlé au propriétaire parce qu'il est injoignable, et je ne peux pas contacter le (ou les) ancien(s) locataire(s) sans passer par lui... Si quelqu'un pouvait m'apporter un début de réponse quant à ce qu'il y a dans ce carnet, je lui en serais très reconnaissant.

    Voici la retranscription de ce qui s'y trouve :





    "Aujourd'hui, je suis descendu à la cave pour la première fois depuis que j'habite ici. Je voulais y amener mon vieux meuble-télé. Il n'est pas abîmé, mais j'en ai trouvé un qui me plaît mieux, alors j'ai voulu le descendre, des fois que je puisse le revendre ou le donner à quelqu'un.

    En arrivant dans la cave, malgré le fait que la lumière soit très faible, j'ai trouvé mon box assez vite parce qu'il porte le numéro de mon appartement. Il était au fond du couloir, face à moi (pas comme les autres qui étaient disposés face à face, sur les côtés).

    Juste avant d'ouvrir la porte, je me suis rendu compte qu'il y avait comme un ronflement qui venait de l'intérieur. J'ai attendu pendant au moins dix minutes, avant que ça s'arrête. À ce moment-là, j'ai regardé entre les planches de la porte, et j'ai vu quelque chose se déplacer à quatre pattes dans la largeur du box. Comme ses yeux reflétaient la lumière, j'ai pu voir que ça regardait vers moi. Ça respirait fort aussi, comme si ça avait la gorge prise.

    Au bout d'un moment qui m'a paru long, c'est arrivé vers moi en rampant très rapidement, ça a collé sa tête à la porte, au niveau de la mienne, et ça m'a reniflé. Son haleine puait le rat mort, l'urine, et la terre humide. Je suis remonté chez moi à la vitesse de l'éclair. Je ne sais pas ce que c'est, mais ça me terrifie... Pourtant, j'ai tellement envie de savoir."




    "Je n'arrive pas à arrêter d'y penser. Aujourd'hui, je suis redescendu à la cave avec une lampe-torche, pour essayer de voir un peu mieux cette chose à travers les planches de la porte. Quand je suis arrivé, j'ai regardé un premier coup sans la lampe. La chose était en boule, collée au milieu du mur du fond, et avait l'air de dormir. Ensuite, j'ai allumé la lampe et je l'ai collée contre la porte, à un endroit où les planches se séparent.

    Je n'ai pu la voir qu'une ou deux secondes, avant qu'elle n'aille se réfugier dans un coin d'ombre, en rampant et en poussant un grognement. Une partie de la lumière lui était arrivée en plein dans les yeux et l'avait réveillée d'un coup.

    Cette chose ressemble à une femme, vieille et desséchée. Sa peau est grise et craquelée, et elle est horriblement maigre, on dirait un cadavre ! J'ai même cru voir ses côtes et les os de ses coudes dépasser... Les ongles de ses mains sont noirs et cassés, pas étonnant vu qu'elle rampe en s'agrippant au sol et en poussant sur ses pieds. Mais le pire, ça reste son visage : son crâne est parsemé de touffes de cheveux longs et blancs, extrêmement fins. Tout le quart avant du côté droit de sa tête est dépourvu de peau. On voit son os dépasser, entouré par des bords de chair noire pourrie. Ses yeux n'ont pas de paupières, et ne sont que deux grosses billes noires luisantes, bien trop grosses, enfoncées dans son crâne. Elle n'a pas de nez non plus, pourtant la forme du trou qu'elle a à la place laisse penser qu'il devrait y en avoir un.

    Et sa bouche... Mon Dieu, sa bouche ! Elle n'a pas de lèvres, et à peine quelques grosses dents cassées, jaunes ou noires, et très espacées. Certaines sont carrées, d'autres pointues, mais pas naturellement : comme si elle les avait cassées pour les rendre comme ça. En plus, elles ne sont pas du tout alignées.

    Ses gencives sont rouge sombre et enflées, comme couvertes de tumeurs, et elles suintent d'un liquide à l'air poisseux, jaune sombre-vert, qui a l'air d'avoir fait comme une croûte à la base de ses dents.

    L'expression sur son visage est une expression de colère, comme un prédateur qui s'apprêterait à attaquer... Cette chose a l'air dangereuse, je ne sais pas quoi faire ! De toute manière, qui me croira si j'en parle ?"




    "Je n'arrête pas de penser à cette chose. Je retourne son image dans ma tête, et je l'imagine vivant dans ce box, mangeant les insectes qui passent à sa portée, et attrapant un rat de temps en temps. J'imagine ses dents entrant dans la chair du rongeur, la pression faisant éclater les tumeurs de ses gencives, et laissant échapper le liquide jaune-vert dans un petit craquement. Puis je vois ses dents tirer les entrailles du petit animal de son ventre, alors qu'il est encore vivant, se tortillant de douleur et de peur, et couinant comme un jouet en caoutchouc. Plus j'y pense, et plus je trouve à cette chose quelque chose de noble, de beau même."




    "Ça fait plusieurs jours que je passe quotidiennement au moins une fois par la cave. Je tapote contre la porte, pour faire savoir à la chose que je suis là, et je m'assois en tailleur, le dos et la tête collés à la porte. Au début elle se méfiait, sûrement à cause du coup de la lampe, mais petit à petit elle s'est mise à s'approcher de plus en plus de la porte, pour finalement se mettre à me renifler. Hier, elle a même passé ses doigts entre les planches pour me toucher les épaules et les cheveux. Je crois qu'elle commence à s'habituer à moi. À vrai dire, même moi je m'habitue à elle. Et au final, son haleine n'est pas si dérangeante que ça."




    "Je le savais ! Elle s'est habituée à moi, et ça fait même plusieurs jours que quand j'arrive, je l'entends venir à la porte pendant que je traverse la cave. Elle sait que c'est moi, elle a même l'air heureuse de me voir ! Maintenant, elle passe à chaque fois ses doigts entre les planches pour me toucher. Elle essaye même de passer son regard pour me voir ! En réponse, je touche ses doigts, comme ça elle sait que je suis en confiance. Je crois que je pourrais bientôt essayer d'entrer !"




    "Je l'ai fait ! Aujourd'hui, j'ai ouvert la porte, et je suis rentré dans le box. J'ai bien sûr fait attention de bien refermer derrière moi. Je me suis mis en tailleur, au bout de la pièce. Ce n'était pas très confortable parce qu'il y avait plein de petits os au sol, sûrement les vieux repas de la chose...

    Elle a rampé vers moi, puis elle s'est accroupie juste en face de moi. Elle a passé un bon moment à me renifler, mais elle a fini par toucher mon visage - comme un aveugle qui chercherait à se représenter quelqu'un - ce qui est bizarre parce que ses yeux brillent dans le noir. Ça voudrait dire qu'elle peut voir dans l'obscurité, normalement... Néanmoins, je l'ai laissée faire, et tout s'est bien passé."




    "La voisine du premier m'espionne ! Aujourd'hui, en descendant l'escalier, elle a ouvert sa porte pile quand je suis passé devant chez elle. Elle m'a dit que ça suffisait, que tous les jours elle m'entendait descendre à la cave, et elle m'a demandé ce que je pouvais bien y fabriquer... Je lui ai répondu de s'occuper de son gros cul flasque, et de laisser les gens utiles à la société vivre comme ils le voulaient. Elle a tellement été choquée qu'elle est rentrée chez elle, et a verrouillé sa porte... Espèce de vieille pute ! J'ai aucun compte à lui rendre, non mais !!"




    "Hier, ma pauvre petite chose avait l'air très mal en point. Je ne savais pas ce qu'elle avait... Elle était adossée au mur du fond, les bras le long du corps, quand je suis arrivé. Elle poussait comme des cris de douleur. J'ai essayé de comprendre ce qui n'allait pas. Elle n'avait pourtant pas l'air blessée, ou quoi que ce soit... En tout cas, elle a dû comprendre que je cherchais à l'aider puisqu'elle a fini par me regarder, et elle m'a montré sa bouche ouverte du doigt. J'ai tout de suite compris qu'elle avait faim.

    Je lui ai donc descendu une entrecôte que j'avais dans le frigo. Je me suis dit qu'elle la préférerait crue, et j'ai eu raison ! Dorénavant, je vais lui apporter à manger tous les jours, comme ça elle ne manquera de rien. Et au moins, comme elle n'a pas l'air de déféquer (ou peut-être qu'elle est scatophage ?), je n'aurai pas à nettoyer !"




    "Tout se passe bien avec ma petite chose, elle mange correctement, et elle a l'air en forme ! Le seul problème, c'est cette connasse de voisine : elle parle de moi aux autres locataires, mais comme ils doivent la croire à moitié folle, personne ne la prend au sérieux. C'est dingue ce qu'elle peut m'énerver avec son air accusateur, et la peau de son cou qui tremblote quand elle parle. J'ai envie de la cogner ! Et j'aime pas la façon dont elle me regarde. Je ne sais pas qui elle croit impressionner, cette espèce de vieille connasse !"




    "J'ai discuté avec un voisin aujourd'hui, très sympa ! On a parlé de la vieille du premier. Il m'a raconté, avec un air amusé, qu'elle disait à tout le monde que je gardais quelque chose dans ma cave. Mais il m'a rassuré en m'expliquant que ce n'était qu'une vieille commère à moitié folle, qui ne cherchait qu'à se rendre intéressante, et que de toute façon personne ne l'écoutait vraiment (sur ce point-là, j'avais vu juste). Il a aussi dit que de toute manière je pouvais aussi bien héberger un troll là-dedans, que ça faisait des années que personne n'y descendait plus. Je lui ai quand même inventé l'excuse comme quoi je faisais des travaux de rénovation chez moi, et que j'entreposais les pots de colle et de peinture en bas, parce que je ne supportais pas l'odeur, histoire de ne pas éveiller le moindre soupçon..."




    "Ma chose et moi commençons à être vraiment liés. Maintenant, quand je descends, elle vient se coller à moi, elle me caresse... Elle essaye même de m'embrasser le cou, mais forcément elle n'y arrive pas, comme elle n'a pas de lèvres...

    Aujourd'hui, je lui ai rendu ses caresses. J'ai touché sa poitrine, elle était rêche et tombante. Pourtant, je crois qu'elle a aimé ça. Moi, par contre, je suis certain que j'ai aimé ça."




    "Elle mérite mieux que de la viande morte ! Aujourd'hui, j'ai attrapé le chat de la vieille connasse du premier, pendant qu'il était sur sa fenêtre, et je lui ai apporté. Elle a poussé des grognements
    de joie et des raclements de gorge en le voyant. Elle l'a mangé jusqu'au dernier morceau, elle n'a laissé que son squelette.

    Quand elle a eu fini, elle m'a sauté dessus, et m'a pris dans ses bras, comme pour me remercier ! Je crois qu'il est temps de faire passer notre relation à l'étape supérieure..."




    "Ça fait quelques jours que j'attrape des animaux dans la rue pour lui donner (des chats errants, des chiens mal surveillés...). À chaque fois elle est heureuse de manger de la bonne viande encore palpitante et saignante. Pourtant, je voudrais lui offrir quelque chose de vraiment spécial..."




    "La soirée d'hier a été magnifique ! En rentrant chez moi, j'ai vu une mère qui cherchait quelque chose dans le compartiment de sa poussette. Comme elle n'avait plus les yeux sur son bébé, j'ai saisi l'occasion : j'ai pris le mioche, et j'ai couru le plus vite possible jusqu'à mon immeuble. Je l'ai entendue appeler aux secours derrière moi, mais j'étais déjà hors de sa vue. Elle n'a même pas pu me voir en fait, parce que juste après avoir pris le gosse, j'ai tourné derrière un immeuble.

    Par contre, ce petit con n'arrêtait pas de gueuler ! En plus, il était vraiment moche, avec sa gueule de bouledogue, sa grosse tête, et la morve qui lui coulait du nez. Du coup, je l'ai frappé en plein visage pour le faire taire. Ça a marché ! Il avait le visage enflé et violet, il saignait même un peu, mais il a fermé sa grande gueule ! En même temps, il avait l'air à moitié inconscient...

    Mais bon, passons. Je l'ai apporté à ma petite chose, elle a adoré ! Elle a même tenu à partager son repas avec moi ! Maintenant, je suis sûr qu'elle m'aime !"




    "J'ai attrapé la vieille du premier dans la matinée, j'ai réussi à l'assommer. Là, elle est dans ma cuisine, un torchon en boule dans la bouche, pour pas qu'elle gueule si jamais elle se réveille, et du fil de fer serré en bas des épaules et en haut des cuisses. Ça va lui couper le sang dans les membres, et ça la rendra plus facile à mâcher. Car ce soir, j'offre à ma petite chose chérie le repas de sa vie !"




    "C'était vraiment la plus belle nuit de ma vie. J'ai descendu la vieille vers 23h00, et on a commencé à manger. Ma petite chose avait l'air ravie ! En plus, pendant qu'on attaquait les intestins (et juste après avoir eu fini les deux bras et une jambe), la vieille est revenue à elle. En se voyant dans l'état où elle était, elle a essayé de crier, et elle s'est mise à sangloter. Ça m'a bien fait rire, et ça a plu à ma petite chose !

    Comme elle devenait agaçante, au bout d'un moment on a décidé de lui ouvrir le crâne pour s'en partager le contenu. On se regardait droit dans les yeux en mangeant. Et finalement, arriva ce qui arriva... Je l'ai allongée sur le dos, et j'ai baissé mon pantalon pour lui faire l'amour.

    J'avais mal en la pénétrant, ça accrochait et ça me coupait. Pourtant je ne pouvais pas m'arrêter, même alors que c'était difficile ! Elle tortillait ses membres en poussant des cris et des grognements inhumains, sa tête se balançait de gauche à droite, et sa langue - un grand morceau de chair noire - semblait bouger indépendamment en sortant de sa bouche.

    Au bout d'un moment, j'ai fini par venir, et je suis sorti d'elle. Elle est restée dos au sol, respirant d'un souffle sifflant, et faisant de gros gargouillis avec sa gorge. C'était magique !"




    "Les gens de l'immeuble se posent des questions sur moi... Il est temps de rejoindre ma petite chose chérie dans la cave. Je m'arrangerai pour sortir de temps en temps, parce qu'il faut bien se nourrir. Là au moins, ils ne viendront jamais me chercher !

    Je ne vais pas détruire mes notes. Je vais me contenter de les cacher quelque part dans mon appartement. Notre histoire est trop belle pour être effacée ! Et qui sait... Peut-être qu'un jour quelqu'un lira ces lignes et comprendra ce qu'est le vrai amour ?"






    Une fois que ce message sera terminé, j'amènerai ce carnet à la police. Pas question que je descende seul à la cave ! Il n'empêche que je ne comprends pas ce que j'ai lu, et que j'aimerais recueillir des avis, des idées... N'importe quoi... Pitié...


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  • Titre : Médicine
    Artiste : Hollywood Undead




    Oh no, how'd I sink so low?
    Ain't got the patience, I need my medication
    I need to crawl out, out of this hole now
    Before the darkness grabs a hole and takes my soul now

    And it just goes on and on and on
    On and on and on

    Yeah call the doc, I must be sick
    Better get me my medicine
    Now it's five o'clock, on the phone again
    Think I might need another prescription
    Call the doc, I must be sick
    Better get me my medicine
    Now it's five o'clock, on the phone again
    I think I might need another prescription

    Oh Holy Ghost, is this a vision?
    I've got 1, 2, 3 admissions
    I'm getting sick cause superstition
    I need a dose, man fuck the fixing
    Mama what'd you feed the children?
    Pills in milk and nothing to mix em in
    Who needs the milk man
    I got the Trix and
    Another refill ain't gonna fix em

    And it just goes on and on and on
    On and on and on
    Another refill ain't gonna fix em

    Yeah call the doc, I must be sick
    Better get me my medicine
    Now it's five o'clock, on the phone again
    Think I might need another prescription
    Call the doc, I must be sick
    Better get me my medicine
    Now it's five o'clock, on the phone again
    I think I might need another prescription

    Oh no, no, I can't fight it
    Even when I hate it, I still wanna like it
    Oh no, no, I can't hide it
    I ain't got a dollar but I still try to buy it
    Oh no, no, I can't fight it
    Even when I hate it, I still wanna like it
    Oh no, no, I can't hide it
    I know you don't know me but I know you supply it

    Call the doc, I must be sick
    Bitch get me my medicine
    Now it's five o'clock, on the phone again
    Think I might need another prescription
    Call the doc, I must be sick
    Voices in my head again
    Now it's five o'clock, on the phone again

    Call the doc, I must be sick
    Better get me my medicine
    Now it's five o'clock, on the phone again
    Think I might need another prescription
    Call the doc, I must be sick
    Better get me my medicine
    Now it's five o'clock, on the phone again
    I think I might need another prescription
    So call the doc, I must be sick
    I'm so sick
    I think I might need another prescription
    Yeah call the doc, I must be sick
    I'm so sick
    I think I might need another prescription


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  • Titre : Monster [Dubstep Remix]
    Artiste : Meg & Dia


    Monster,
    How should I feel?
    Creatures lie here
    Looking through the window


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  • Titre : You're So Creepy
    Artiste : Ghost Town

     

    For so long now I've been coming to your rescue
    Got me thinking I'll get you
    And I'm serious when I say I'm over it
    I'm over it and your fuckin' lies

    That you'll stick around
    Stay on my side of town
    Now I'm covered in blood
    And I'm feeding off your pretty little lies

    For once why can't you just come and chase me
    Dig up my grave and save my body
    Now I'm rotting to the bone
    But my hearts still beatin'
    Hopin' you won't leave me

    Creepy girls
    You're just my style
    Blood-red lipstick
    You don't smile
    Falling victim to your fantasy
    Damn, I love it that you're so creepy

    Now you're risking it all
    For some creepy girl
    With a blacked-out rage that'll cast a spell
    Don't tempt her. She's got those evil eyes

    Now you're risking it all
    For some pin-up doll

    Who drinks in the AM
    Fucks in the PM
    Treats all the boys like she don't need 'em

    Creepy girls
    You're just my style
    Blood-red lipstick
    You don't smile
    Falling victim to your fantasy
    Damn, I love it that you're so creepy

     Creepy girls
    You're just my style
    Blood-red lipstick
    You don't smile
    Falling victim to your fantasy
    Damn, I love it that you're so creepy


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  • Titre : White Rabbit
    Artiste : Egypt Central

     

    Your magic white rabbit
    Has left it's writing on the wall
    We follow like Alice
    And just keep diving down the hole

    You can't fix your broken promise
    Our ties have come undone
    I will not be used to be battered and abused
    It's the reason why I choose to cut my losses
    Your lies fool no one
    Your magic white rabbit
    Your white room straight jacket

    Your magic white rabbit
    Has left it's writing on the wall
    We follow like Alice
    And just keep diving down the hole
    We're falling and we're losing control
    Your pulling us and dragging us down this dead end road
    We follow like Alice
    And just keep diving down the hole

    You can't offer your poison to me
    In your kingdom of filth
    White Rabbit
    Straight jacket

    Your magic white rabbit
    Has left it's writing on the wall
    We follow like Alice
    And just keep diving down the hole
    We're falling and we're losing control
    Your pulling us and dragging us down this dead end road
    We follow like Alice
    And just keep diving down the hole

    I won't be pushed aside
    I will be heard
    I will get what I want
    What I deserve

    I won't be pushed aside
    I will be heard
    I will get what I want
    What I deserve

    We're falling and we're losing control
    Your pulling us and dragging us down this dead end road

    Your magic white rabbit
    Has left it's writing on the wall
    We follow like Alice
    And just keep diving down the hole
    We're falling and we're losing control
    Your pulling us and dragging us down this dead end road
    We follow like Alice
    And just keep diving down the hole

    Your magic white rabbit
    Has left it's writing on the wall
    We follow like Alice
    And just keep diving down the hole
    Diving down the hole


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  • Titre : I Hate U
    Artiste : Simon Curtis

     

    I hate you
    Everything about you
    Don't wanna be in love with you no more
    Don't wanna be around you
    Touch you
    Fuck you
    Don't ever wanna see you come around my door
    Don't ever try to touch me again
    I loved you so much
    Oh baby
    But then
    Oh

    I hate you, I hate you, I hate you, ah ah
    I hate you, I hate you, I hate you, ah ah

    I hate you ah, I hate you ah, I hate you ah, ah
    I hate you ah, I hate you ah, I hate you ah, ah
    I hate you ah, I hate you ah, I hate you ah, ah
    I hate you ah, I hate you ah, I hate you ah, ah

    Betrayed me
    Played me
    Slayed me
    Hurt me like I've never been hurt before
    Disowned me
    Only
    For the
    Other people you decided that you wanted in your life more
    Made your bed now lie in it
    And don't wake up you
    Fucking bitch

    Don't ever try to touch me again
    I loved you so much
    Oh baby
    But then
    Oh

    I hate you, I hate you, I hate you, ah ah
    I hate you, I hate you, I hate you, ah ah

    I hate you ah, I hate you ah, I hate you ah, ah
    I hate you ah, I hate you ah, I hate you ah, ah
    I hate you ah, I hate you ah, I hate you ah, ah
    I hate you ah, I hate you ah, I hate you ah, ah

    Don't ever try to touch me again again
    Don't ever try to touch me again
    I hate you
    Everything about you
    Don't wanna be in love with you no more
    I hate you
    Everything about you
    Don't wanna be in love with you no more

    I hate you ah, I hate you ah, I hate you ah, ah
    I hate you ah, I hate you ah, I hate you ah, ah
    I hate you ah, I hate you ah, I hate you ah, ah
    I hate you ah, I hate you ah, I hate you ah, ah
    I hate you ah, I hate you ah, I hate you ah, ah
    I hate you ah, I hate you ah, I hate you ah, ah
    I hate you ah, I hate you ah, I hate you ah, ah
    I hate you ah, I hate you ah, I hate you ah, ah

    I hate you
    Everything about you
    Don't wanna be in love with you no more


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  • Titre : Ashes
    Artiste : NateWantsToBattle

     

    Now this is genocide
    The monster inside
    The voices in your head
    They're telling you to wash away
    The crimson stains
    To leave us all for dead

    (Now you're just a monster)

    I know a way that you can cut every last tie
    The friends you've made, how could you watch all of them die?
    And every world that you destroy will burn as you planned
    And in the end they're gonna fall and fall to your hand
    I see your mind, now it's slipping faster
    Kill or be killed, the only thing that matters
    Across the land, all of their ashes scatter
    Who's the monster now?

    Now this is genocide
    The monster inside
    The voices in your head
    They're telling you to wash away
    The crimson stains
    To leave us all for dead
    No one told you there's no going back
    For once you attack
    There's no way to prevent
    Every single drop of blood you spill
    Will stain, it's real
    For death is permanent
    You're just a monster

    And now you're just a monster

    And I can see it in your smile and in your eyes
    There's no compassion, no there's nothing left inside
    Over and over, no you're never satisfied
    Made your decision, now you're gonna have a bad time
    I see your mind, now it's slipping faster
    Kill or be killed, the only thing that matters
    Across the land, all of their ashes scatter
    Who's the monster now?

    Now this is genocide
    The monster inside
    The voices in your head
    They're telling you to wash away
    The crimson stains
    To leave us all for dead
    No one told you there's no going back
    For once you attack
    There's no way to prevent
    Every single drop of blood you spill
    Will stain, it's real
    For death is permanent
    You're just a monster

    And now you're just a monster
    And now you're just a monster


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  • Lapin, bonjour .-. (<-- trop feignasse pour écrire une phrase qui veut dire quelque chose)
    Ca faisait un petit moment que j'avais pas posté de creepypasta, et en fait faut dire que j'ai plus masse d'idées. Je sais que y a encore plein de pasta que je peux poster, tout ça tout ça, mais le problème c'est que je les trouve assez... simplistes. Y en a encore pas mal des connues, Ticci Toby, Clockwork, Squidward's Suicide, et en j'en passe des pires et des moins bonnes, mais entre toi et moi, c'est un peu du caca.
    Oui, j'ai aussi dit que j'allai faire des traductions à l'occasion, bah prout, y a pas eu d'occasion. Du coup, j'avais promis qu'on parlerait de la SCP, du coup on va parler de la SCP. Maintenant tu sais à quoi t'attendre pour la prochaine creepypasta.
    Comme toujours, le lien du texte original est ici.

    _____________________________________________________________________________


    Durant la fin des années 1940, des chercheurs russes ont gardé cinq personnes éveillées pendant quinze jours en utilisant un gaz expérimental basé sur des stimulants. Ils étaient enfermés dans un environnement scellé afin de pouvoir contrôler leur consommation d’oxygène de manière à ce que le gaz ne les tue pas, étant donné qu’il était toxique à partir d’une concentration élevée. Cela a eu lieu avant l’invention des caméras en circuit fermé, ils n’avaient donc que des microphones et des fenêtres de verre épais d’une douzaine de centimètres en forme de hublot qui permettaient de les surveiller. La chambre était équipée de lits d’appoint sans literie, de l’eau courante et de toilettes, et contenait des livres et suffisamment de nourriture sèche pour qu’ils puissent tenir à cinq pendant plus d’un mois. 
     
    Les sujets de test étaient des prisonniers politiques jugés ennemis de l’État durant la Seconde Guerre Mondiale.
     
     
    Tout s’est bien passé pendant les cinq premiers jours ; les sujets ne se plaignaient que rarement, car on leur avait promis qu’ils seraient libres s’ils acceptaient de subir le test et de ne pas dormir pendant trente jours (bien que la libération fût hors de question). Leurs conversations et leurs activités étaient surveillées, et on a pu noter qu’ils ne parlaient que d’incidents de plus en plus traumatisants dans leur passé, le ton de la conversation devenant beaucoup plus sombre après le quatrième jour.
     
     
    Au bout de cinq jours, ils ont commencé à se plaindre à propos des circonstances et des événements qui les avaient menés là où ils se trouvaient et à montrer des signes de paranoïa sévère. Ils ont arrêté de se parler et, à la place, se sont mis à parler aux microphones ou aux miroirs sans tain des hublots. Curieusement, ils semblaient penser pouvoir gagner la confiance des expérimentateurs en se retournant contre leurs camarades, les autres sujets de test en captivité avec eux. Les chercheurs ont tout d’abord supposé qu’il s’agissait d’un effet du gaz…
     
     
    Après neuf jours, le premier d’entre eux a commencé à crier. Il courait sur la longueur de la chambre en hurlant à pleins poumons pendant trois heures sans discontinuer, et a ensuite essayé de ne pas s’arrêter, mais il n’arrivait qu’à produire de temps à autre de petits couinements. Les chercheurs ont pensé qu’il s’était déchiré les cordes vocales. Le plus surprenant dans ce comportement, c’est la manière dont les autres sujets ont réagi… ou plutôt n’ont pas réagi. Ils ont continué à murmurer à l’attention des microphones jusqu’à la seconde où les cris ont commencé. Deux des captifs qui ne criaient pas ont alors désossé les livres, ont enduit toutes les pages avec leurs propres excréments et les ont collées sur le verre des hublots. Les cris se sont rapidement arrêtés.
     
     
    Les murmures adressées aux micros également.
     
     
    Trois jours se sont écoulés. Les chercheurs vérifiaient les micros chaque heure pour être sûrs qu’ils fonctionnaient, car ils pensaient qu’il était impossible que cinq personnes enfermées dans une pièce ne produisent aucun son. La consommation d’oxygène dans la chambre indiquait qu’ils devaient être tous les cinq en vie. En fait, elle correspondait à la quantité d’oxygène que cinq personnes consommeraient pendant un exercice physique extrêmement ardu. Le matin du quatorzième jour, les chercheurs ont fait quelque chose qu’ils avaient dit qu’ils ne feraient pas pour obtenir une réaction des captifs: ils ont utilisé l’interphone de la chambre, espérant provoquer une quelconque réponse des détenus. Ils avaient peur qu’ils soient morts ou dans un état végétatif.
     
     
    Ils ont annoncé: « Nous allons ouvrir la chambre pour tester les microphones ; restez loin de la porte et allongez-vous sur le ventre par terre, ou vous serez abattus. Si vous respectez ces règles, l’un de vous gagnera sa liberté. »
     
     
    À leur grande surprise, ils ont entendu une seule phrase prononcée d’une voix calme : « Nous ne voulons plus être libérés. »
     
     
    Des débats ont éclaté entre les chercheurs et les forces militaires qui finançaient le projet. Comme il était impossible d’obtenir d’autres réponses en utilisant l’interphone, il a finalement été décidé que la porte de la chambre serait ouverte à minuit le quinzième jour.
     
     
    La chambre a été vidée du gaz stimulant et remplie avec de l’air frais, et des voix provenant des micros ont immédiatement commencé à protester. Trois voix différentes ont commencé à supplier, comme s’il en allait de la vie de l’amour de leur vie, de remettre le gaz. La chambre a été ouverte et des soldats ont été envoyés à l’intérieur pour retrouver les sujets de test. Ils ont commencé à hurler plus fort que jamais, et les soldats ont rapidement fait de même lorsqu’ils ont vu ce qui était à l’intérieur. Quatre des cinq sujets étaient toujours vivants, bien que l’état dans lequel ils étaient ne fût pas qualifiable de « vivant ».
     
     
    Les rations de nourriture des cinq jours précédents n’avaient pas été touchées. Il y avait des morceaux de chair des cuisses et du torse du sujet mort enfoncés dans le drain au centre de la chambre, le bouchant, et permettant à une dizaine de centimètres d'eau de s’accumuler sur le sol. La portion de cette eau qui était composée de sang n’a pas été déterminée. Les quatre sujets « survivants » avaient également de grandes portions de muscles et de peau arrachés de leur corps. La destruction de la chair et les os à l’air libre sur leurs doigts indiquaient que les blessures avaient été infligées à la main, et non avec les dents, comme les chercheurs l’avaient pensé au début. Des observations plus précises de la position et de l’angle des blessures ont montré que la plupart des blessures, si ce n’était toutes, avaient été infligées par eux-mêmes.
     
     
    Les organes abdominaux sous la cage thoracique des quatre sujets avaient été retirés. Alors que le cœur, les poumons et le diaphragme étaient restés en place, la peau et la plupart des muscles attachés aux côtes avaient été arrachés, permettant de distinguer les poumons à travers les côtes. Tous les vaisseaux sanguins et les organes étaient intacts, ils avaient simplement été retirés et posés par terre, répartis autour des corps éviscérés, mais toujours vivants, des sujets. L’appareil digestif des quatre sujets pouvait être observé en fonctionnement, digérant de la nourriture. Il a été très vite clair qu’ils digéraient leur propre chair, qu’ils avaient arrachée et dévorée durant les jours précédents.
     
     
    La plupart des soldats étaient des Russes d’un commando spécial affecté à l’installation, mais la plupart ont refusé de retourner dans la chambre pour en sortir les sujets test. Ces derniers continuaient de crier pour qu’on les laisse dans la chambre et suppliaient qu’on remette le gaz pour qu’ils ne s’endorment pas.
     
     
    À la surprise de tout le monde, les sujets ont livré un combat violent lorsqu’on les a fait sortir. Un des soldats russes s’est fait déchirer la gorge et en est mort, un autre en est sorti gravement blessé, après s’être fait arraché les testicules et perforer une artère d’une de ses jambes par les dents d’un sujet. Cinq autres soldats ont perdu la vie si l’on compte ceux qui se sont suicidés dans les semaines suivant l’incident.
     
     
    Pendant le combat, la rate de l’un des sujets vivants s’est rompue et il s’est vidé de son sang presque immédiatement. Les chercheurs médicaux ont tenté de l’endormir, mais cela s’est révélé inutile. On lui a injecté plus de dix fois la dose maximale pour un humain d’un dérivé de la morphine, et il continuait de se battre comme un animal enragé, brisant les côtes et les bras d’un des docteurs. On a pu constater que le cœur a continué à battre pendant deux minutes entières après que l’hémorragie l’ait amené à un point où son système vasculaire était rempli avec davantage d’air que de sang. Même après qu’il se soit arrêté, il a continué de crier pendant trois minutes, s’efforçant d’attaquer quiconque venait à portée et répétant continuellement le mot « PLUS », de plus en plus faiblement, jusqu’à ce qu’il soit réduit au silence.
     
     
    Les trois sujets test survivants ont été immobilisés et transportés dans une installation médicale, les deux ayant leurs cordes vocales encore intactes continuant de supplier le retour du gaz pour rester éveillés…
     
     
    Celui des trois ayant le plus de blessures a été emmené dans le seul bloc opératoire dont l’installation disposait. Durant la procédure devant le préparer pour le replacement de ses organes internes, il s’est révélé immunisé aux sédatifs qui lui ont été administrés dans le but de le mettre en condition pour l’intervention chirurgicale. Il se débattait furieusement contre ses liens lorsque le gaz anesthésiant a été apporté pour le mettre hors de combat. Il a réussi à déchirer la quasi-totalité d’un bandeau de cuir épais de dix centimètres attaché à un de ses poignets, même avec le poids d’un soldat de quatre-vingt-dix kilos qui essayait de maintenir ce poignet immobile. Une quantité juste supérieure à la normale a été nécessaire pour l’endormir, et à la seconde où ses paupières se sont fermées, son cœur s’est arrêté. Pendant l’autopsie du sujet test qui est mort sur la table d’opération, il a été révélé que son sang contenait trois fois la concentration normale d’oxygène. Les muscles qui étaient toujours attachés à son squelette étaient affreusement déchiquetés et il s’était brisé neuf os dans sa lutte pour ne pas être maîtrisé. La plupart à cause de la force que ses propres muscles avaient exercé sur eux.
     
     
    Le second survivant avait été le premier du groupe à commencer à crier. Ses cordes vocales étant détruites, il était incapable de supplier ou de protester contre l’opération, et il n'a réagi qu’en secouant violemment la tête pour montrer sa désapprobation lorsque le gaz anesthésique a été amené près de lui. Il a secoué la tête pour faire oui lorsque quelqu'un a suggéré, à contrecœur, d’essayer l’opération sans anesthésie, et n’a pas réagi pendant les six heures qu’ont nécessité le replacement de ses organes abdominaux et la tentative de les recouvrir avec ce qu’il restait de peau. Le chirurgien présidant l’intervention n’arrêtait pas de répéter qu’il devrait être médicalement impossible pour le sujet d’être encore en vie. Une infirmière terrifiée qui assistait à l’opération a affirmé qu’elle avait vu la bouche du patient former un sourire plusieurs fois, à chaque fois que ses yeux croisaient les siens.
     
     
    Lorsque la chirurgie a pris fin, le sujet a regardé le chirurgien et a commencé à siffler fortement, essayant de parler en se débattant. Supposant que ce devait être important, le chirurgien a demandé à ce qu’on lui apporte un crayon et un calepin afin que le patient puisse écrire son message. Il était simple. « Continuez à couper ».
     
     
    Les deux autres sujets tests ont subi la même intervention, tous les deux sans anesthésie. Cependant, il a été nécessaire de leur injecter un paralysant pendant la durée de l’opération. Le chirurgien n'arrivait pas à effectuer la chirurgie pendant que les patients riaient continuellement. Une fois paralysés, les sujets pouvaient seulement suivre les médecins des yeux. Le paralysant a été éliminé de leur système après une période anormalement courte et ils ont rapidement essayé de s'échapper. Au moment où ils ont pu recommencer à parler, ils ont recommencé à demander le gaz stimulant. Les chercheurs ont essayé de leur demander pourquoi ils s'étaient infligé ces blessures, pourquoi ils avaient arraché leurs propres entrailles et pourquoi ils voulaient de nouveau le gaz.
     
     
    La seule réponse qui a été donnée était: « Je dois rester éveillé ».
     
     
    Les liens des trois sujets ont été renforcés et ils ont été replacés dans la chambre en attendant de savoir ce qu’on allait faire d’eux. Les chercheurs, faisant face à la colère des « bienfaiteurs » militaires à cause de leur incapacité à atteindre le but qu’ils leur avaient fixé, ont pensé à les euthanasier. L'officier commandant, un ancien agent du KGB, a, au contraire, vu du potentiel en eux, et a voulu voir ce qui se passerait si on les replongeait dans le gaz. Les chercheurs s'y sont formellement opposés, mais leurs objections ont été ignorées.
     
     
    Afin de les préparer à être de nouveau scellés dans la chambre, les sujets ont été connectés à un moniteur électroencéphalographique, et leurs liens ont été renforcés pour un confinement à long terme. À la surprise générale, ils ont tous les trois arrêté de se débattre au moment où quelqu'un a laissé échapper qu'on allait les remettre dans le gaz. Il était évident qu'à ce moment, ils avaient énormément de mal à rester éveillés. Un des sujets qui pouvait parler fredonnait d'une voix forte et sans s'arrêter ; le sujet muet appuyait ses jambes de toutes ses forces, d’abord la droite, puis la gauche, puis de nouveau la droite, afin d’avoir quelque chose sur quoi se concentrer. Le dernier sujet gardait sa tête au-dessus de son oreiller et clignait des yeux rapidement. Ayant été le premier à avoir été relié à l’électroencéphalogramme, la plupart des chercheurs observaient ses ondes cérébrales avec surprise. Elles étaient normales la plupart du temps, mais affichaient parfois inexplicablement une simple ligne. C’était comme s'il subissait plusieurs morts cérébrales, avant que tout ne redevienne normal. Comme ils se concentraient sur le papier qui sortait du moniteur, seule une infirmière a vu ses paupières se fermer au moment où sa tête est retombée sur son oreiller. Ses ondes cérébrales se sont immédiatement muées en celles du sommeil profond, puis la ligne droite est apparue pour la dernière fois, alors que son cœur s’arrêtait.
     
     
    Le seul sujet restant en état de parler s’est mis à crier pour être scellé immédiatement. Ses ondes cérébrales montraient les mêmes lignes droites que celui qui était mort après s’être endormi. Le commandant a donné l’ordre de sceller la chambre avec les deux sujets à l’intérieur, ainsi que trois chercheurs. Un des trois qui ont été nommés a immédiatement sorti son revolver et tiré une balle entre les deux yeux du commandant, puis a retourné son arme contre le sujet muet, lui faisant également sauter la cervelle. 
     
     
     
    Il a ensuite pointé son arme vers le sujet restant, toujours attaché au lit tandis que les membres restants de l’équipe médicale et de recherche fuyaient la pièce. « Je ne me laisserai pas enfermer là-dedans avec ces choses ! Pas avec vous ! a-t-il crié à l’homme attaché à la table. QU’EST-CE QUE VOUS ÊTES ? a-t-il demandé. Je dois le savoir ! »
     
     
    Le sujet a souri.
     
     
    « Est-ce que vous avez oublié si facilement ? a répondu le sujet. Nous sommes vous. Nous sommes la folie qui est cachée dans chacune d’entre vous, suppliant d’être libérée à tout moment dans votre esprit animal. Nous sommes ce dont vous vous cachez toutes les nuits dans vos lits. Nous sommes ce que vous réduisez au silence et à la paralysie lorsque vous rejoignez le paradis nocturne que nous ne pouvons fouler. »
     
     
    Le chercheur a marqué un arrêt. Puis il a visé le cœur du sujet et a fait feu. L’électroencéphalogramme a alors affiché une ligne droite, tandis que le sujet s’étranglait, laissant faiblement échapper quelques mots : « Si… près d’être… libre… »

    L'expérience russe sur le sommeil

     


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  • Titre : Murder Melody
    Artiste : Cult To Follow

     

    I don't give a fuck what you think about it
    I'd just as well kill you today.

    Im cursed with the pain!
    No I know
    I cant pretend it, I can't pretend it.

    Shake another slave.
    I hope I never never get it
    I hope I never never get it.

    Narcistic
    Anti-Social
    All these things say "make me loco"

    Masochistic
    Suicidal
    All these things make me HOMICIDAL.

    Narcistic
    Anti-Social
    All these things say "make me loco"
    Masochistic
    Suicidal
    All these things make me HOMICIDAL!

    I don't give a fuck what you think about it
    I'd just as well kill you today.

    No more apologies, It's all I can take!
    No more regret for the truces that I make
    You say you love me, you hate me
    I dont give a fuck today!
    Obsolete from everyone!
    The people Of hypocrisy, of hypocrisy
    I cannot come undone.
    A chance to get away from me. Get away from me.
    Paranoia, out to get me.
    Wont forget, the words you betrayed me.
    Heres something for yea
    Domination
    Welcome you to my determination.
    Paranoia, out to get me.
    Wont forget, the words you betrayed me.
    Heres something for yea
    Domination
    Welcome you to new domination.
    I dont give a fuck what you think about it
    I'd just as well kill you today

    No more apologies, It's all I can take!
    No more regret for the truces that I make
    You say you love me, you hate me
    I dont give a fuck today!
    No more apologies, It's all I can take!
    No more regret for the truces that I make
    You say you love me, you hate me
    I dont give a fuck todaaaayy!
    Gone today, the weight of the world
    they say that?
    As long. As long I stand strong.
    (I dont give a fuck what you think about it)
    I'd just as well kill you today.
    No more apologies, It's all I can take!
    No more regret for the truces that I make
    You say you love me, you hate me
    I dont give a fuck today!
    No more apologies, It's all I can take!
    No more regret for the truces that I make
    You say you love me, you hate me
    I dont give a fuck today!

     

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  • Et une promesse est une promesse .-.

    Bonsoir mon lapin ! (Tu savais, toi, que si on inversait le L et le A de lapin ça donnait alpin ? Bon, oui tu le savait ._.)
    Comme promis dans la description de la dernière creepypasta, aujourd'hui on s'attaque à du lourd parce qu'on va parler de la SCP, biatch. Si tu ne vois pas de quoi je parle, tu as un épisode à rattraper alors va vite me visionner ça.
    Cette fois-ci il n'est pas question de CFTC mais du site de la fondation, donc voilà ici le lien de la fiche originale.

    _____________________________________________________________________________

    Objet # : SCP-034-FR

    Nom d'appellation : Une Nounou Parfaite

    Niveau de Menace : Orange

    Classe : Euclide

    Procédures de confinement spéciales : SCP-034-FR doit être confiné dans un caveau blindé de la Zone de Confinement Tèt. La pièce doit être remplie de peluches pour enfants. Le Dr.████ et le Directeur de la Zone Tèt sont les seules personnes à en connaître les codes d’accès. Le couloir menant à la salle (couloir C-88-1) doit être surveillé par deux gardes. La relève sera effectuée à 18:00, à 0:00, à 06:00 et à 12:00.

    Aucun être humain adulte ne doit s’approcher à moins de vingt-cinq (25) mètres de l’objet. En cas de tentative de d’approche du SCP par un intrus, les gardes devront défendre leur position, et, dans le cas où l’ennemi parviendrait tout de même à entrer dans le périmètre de confinement, devront battre en retraite vers l’embranchement C-88 et bloquer le passage à quiconque sortant du couloir C-88-1 en attendant des renforts. Après élimination des intrus, SCP-034-FR devra être repoussé dans sa cellule par des membres des forces de sécurité armés de lance-flammes.

    Description : SCP-034-FR est un ensemble de cinq (5) serviettes pour nouveau-nés et enfants en bas-âge de la marque █████, désignées respectivement comme SCP-034-FR-1, SCP-034-FR-2, SCP-034-FR-3, SCP-034-FR-4, et SCP-034-FR-5. Elles présentent une apparence usée et salie. Elles semblent déchirées en de multiples endroits.

    Les propriétés anormales de SCP-034-FR se déclenchent en présence d’un être humain.

    Si celui-ci est un enfant, les serviettes s’animeront, prendront une forme d’étoile de mer se mouvant sur deux de ses bras, et essaieront de le distraire par toutes sortes de jeux. L’objet déplacera ses membres de la même manière qu’un être humain adulte femelle de sa taille (cinquante-huit (58) cm) le ferait. Le fils du Dr.████████, âgé de cinq (5) ans, déclara après être entré accidentellement en contact avec SCP-034-FR avoir entendu "la voix de mamy Jodie" (la mère du Dr.████████, morte depuis sept (7) mois), lui proposant de jouer à "chat perché". Les paroles émises par l’objet semblent n’être audibles que par la personne à qui elles sont destinées et n’ont été captées par aucun des sonomètres utilisés dans le cadre des systèmes de surveillance. Le moyen par lequel SCP-034-FR arrive à communiquer avec son corps en coton reste inconnu à ce jour. Tous les enfants entrés en contact avec l’objet ont affirmé, pour la plupart, "s’être bien amusé".

    Si celui-ci est un adulte, les serviettes s’animeront, prendront une forme rappelant celle d'un félin, et se propulseront vers son visage, l'enveloppant totalement. Lorsque l'objet se sépare de sa victime, on peut remarquer que cette dernière présente de graves marques de brûlures et d'écorchures, semblables à l'effet de l'acide chlorhydrique concentré sur les tissu organiques. La peau, les muscles et l'os sont progressivement rongés par SCP-034-FR jusqu'à ce qu'il n'en reste plus rien (au cours d'un test réalisé, la tête de D-8672 avait totalement disparu au bout de cinq (5) minutes et deux (2) secondes, par exemple). L'objet ne présente après coup aucun résidu biologique sur sa surface. Des études sont en cours afin de découvrir ce qu'il advient de la masse biologique constituant la tête des victimes. Si plusieurs autres adultes se trouvent à sa portée, SCP-034-FR les attaquera un par un.

    SCP-034-FR réagit de manière très négative en présence d'une flamme de n'importe quelle nature que ce soit. Il tentera de s'enfuir par tous les moyen possibles. Durant sa fuite, il pourra atteindre une vitesse d’approximativement quarante (40) km/h.

    L'objet semble moins enclin à attaquer des adultes si il se trouve en présence de peluches destinées aux enfants (voir rapport de récupération 034-A). Les procédures de confinement ont été adaptées en conséquence.

    Le moyen qu'utilise SCP-034-FR pour découvrir l'âge mental des individus auxquels il est confronté (voir Addendum) reste à ce jour inconnu.

     

    Une Nounou Parfaite


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  • Titre : The Fox's Wedding
    Artiste : Miku Hatsune ft. Gumi Megpoid

     

    kitsune no yamesan amagasa motazu ni

    watashi no omoi o tsumuide okure

    daimyou gyouretsu shinin no monban

    akete? akete?

    kitsune no yomesan amagasa motazu ni

    nakushita koiji o mukae ni ikou zo

    torii no saki ni wa watashi no karada to

    daimyou gyouretsu shinin no monban

     

    nee nee? waratte kushizashi ni suru no?

    yamete yamete itai yo

    anata no kotoba wa yasashiku suru kara

    kobanda watashi wa sasarete kurushimu

    aaaaaaaa itai yo

    aaaaaaaa tasukete

    itai no ya dakara kimi o ukeireru

    nee nee? waratte kushizashi ni suru no?

     

    miyako ni umarete shibarare sodatta

    nan nen tatta ka kizukeba watashi wa

    nimekure kusatte ningen o tabeta

    nan nen tatta ka tanjoubi no toki

    anata o mitsukete tsuyoku omotta

    tabetai tabetai honto ni tabetai

    watashi wa anata o karada de sasotte

    kuitsuita toko ni watashi ga kuitsuku

     

    oide yo oide yo watashi no tokoro e

    watashi no neiri wa megitsune to tomo ni

     

    anata wa watashi no karada o sawatte

    koufun shinagara mune ni suitsuite

    zecchou kairaku subete ga mazatte

    watashi mo takaburi kimi o kuichigiru

    mimi, hana, mentama harawata wa saigo

    oishii, oishii suggoku oishii

    honto ni anata to hitotsu ni nareta wa

    hone made shabutte anata o aisu wa

     

    saa saa, youkoso kichiku no dotsubo e

    anta ga shuyaku no kaitai shinsho

     

    kitsune no yomesan amagasa motazu ni

    watashi no omoi o tsumuide okure

    daimyou gyouretsu shinin no monban

    akete? akete?

    kitsune no yomesan amagasa motazu ni

    nakushita koiji o mukae ni ikou zo

    torii no saki ni wa watashi no karada to

    daimyou gyouretsu shinin no monban

     

    nee nee? waratte kushizashi ni suru no?

    yamete yamete kimochii

    onaka no kodomo wa watashi ga taberu no

    kobanda watashi wa sasarete yorokobu

    ryoukai, goshujin oose no toori ni

    dorei wa katarazu asobare kizumono

    daijoubu shaberu na shaberu to korozu zo

    ryoukai, goshujin oose no toori ni

     

    oide yo oide yo watashi no tokoro e

    watashi no neiri wa megitsune to tomo ni

     

    watashi no kokoro wa anata no mono da yo

    kawari ni morau wa anata no karada o

    zecchou, kairaku subete ga mazatte

    watashi mo nandaka koufun shite kita

    kanzou, ibukuro harawata wa saigo

    oishii oishii suggoku oishii

    sorosoro naku naru anata no karada ga

    otsugi wa donata o tabechai mashou ka

     

    daijoubu shaberu na shaberu to korosu zo

    ryoukai goshujin oose no toori ni

     

    kitsune no yomesan amagasa motazu ni

    watashi no omoi o tsumuide okure

    daimyou gyouretsu shinin no monban

    akete? akete?

    kitsune no yomesan amagasa motazu ni

    nakushita koiji o mukae ni ikou zo

    torii no saki ni wa watashi no karada to

    daimyou gyouretsu shinin no monban

     

    boku wa boufura kimi no kizu o

    ujimushi no youni guchuguchu to susuru

    aishite aishite aishite aishite

    nandaka karada ga atsuku natte kita

    boku wa boufura kimi no kizu o

    ujimushi no youni guchuguchu to susuru

    aishite aishite aishite aishite

    nandaka suggoku koufun shite kita

     

    chichiue, hahaue hanashite okimasu

    watashi wa ningen o tabete iru no yo

    doushita no? sonna kanashii kao shite

    imasara shitta no? watashi no honshou

    anta ga watashi o kou sasetan da yo

    tabetai tabetai ippai tabetai

    chichiue, hahaue onaka ga suita wa

    otonashiku shite ne? yasashiku suru kara

     

    ahahahahahahaha

    aaaaa!

     

    kitsune no yomesan amagasa motazu ni

    watashi no omoi o tsumuide okure

    daimyou gyouretsu shinin no monban

    akete? akete?

    kitsune no yomesan amagasa motazu ni

    nakushita koiji o mukae ni ikou zo

    torii no saki ni wa watashi no karada to

    daimyou gyouretsu shinin no monban

     

    nakushita karada to hikikae te ni shita

    futari no omoi wa kuro yume utsutsu de

    saigo ni daite to anata ni tsubuyaku

    "akete? akete? akete? akete?"

    kitsune no yomesan amagasa motazu ni

    nakushita koiji o mukae ni ikou zo

    torii no saki ni wa watashi no karada to

    daimyou gyouretsu shinin no monban

     


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  • Titre : I'm Insane
    Artiste : Myah Marie




    My phone is off the hook,
    You're cramping up my style.
    I can't believe you feel neglected,
    You are such a child.
    I'm going off the edge,
    I think you're too obsessed.
    You're so attached.
    I'm about to cut the cord,
    It needs a rest.

    Won't leave me alone,
    Get a busy tone,
    Stuck inside my home,
    Im going crazy.
    Need a little space,
    I am sick of your face,
    Now a mental place,
    What have you done to me?

    I'm insane,
    You make me insane.
    I'm insane,
    It's disturbing I forgot to mention.

    I'm insane,
    You make me insane.
    I'm insane,
    Think I'm craving some other attention.

    I'm insane,
    You make me insane.
    I'm insane,
    Yes I'm for you but you never listen.

    I'm insane,
    You make me insane.
    I'm insane,
    End up single but I know what I'm missing.

    You're suffocating me,
    I need some room to stop.
    I'm locked up in a room,
    And you're the one that has the key.

    I make just no mistake,
    I think I want to break,
    And if we jump then it's my sanity that you will take.

    Won't leave me alone,
    Get a busy tone,
    Stuck inside my home,
    I'm going crazy.
    Need a little space,
    I am sick of your face,
    Now a mental place,
    What have you done to me?

    I'm insane,
    You make me insane.
    I'm insane,
    It's disturbing I forgot to mention.

    I'm insane,
    You make me insane.
    I'm insane,
    Think I'm craving some other attention.

    I'm insane,
    You make me insane.
    I'm insane,
    Yes I'm for you but you never listen.

    I'm insane,
    You make me insane.
    I'm insane,
    End up single but I know what I'm missing.

    Let's bring it back to reality,
    It's time to respect my boundaries.
    You're pressuring to get close to me,
    I think I'm ready for some space.

    Give me back my space.
    Give me back my space.

    I'm insane,
    You make me insane.
    I'm insane,
    It's disturbing I forgot to mention.

    I'm insane,
    You make me insane.
    I'm insane,
    Think I'm craving some other attention.

    I'm insane,
    You make me insane.
    I'm insane,
    Yes I'm for you but you never listen.

    I'm insane,
    You make me insane.
    I'm insane,
    End up single but I know what I'm missing.

    It's disturbing I forgot to mention,
    Think I need some some other attention.


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  • Titre : Pretty Little Psycho
    Artiste : Porcelain Black



    Oh, oh, oh
    Oh, here we go
    Walkin', talkin' like you know
    I want your pretty little psycho

    Pretty little psycho

    I'm ready to go, I'm taking chances
    Sippin' less from champagne glasses
    Gotta have you, I'm movin' closer
    I won't take no for an answer

    You're lookin' crazy, you're lookin' wrong
    It looks like we're gonna get along
    And once I've got you, it's a fact
    Baby, there's no turning back

    Make me, make me impressed
    Make me, make me obsessed

    Oh, oh, oh
    Oh, here we go
    Walkin', talkin' like you know
    I want your pretty little psycho
    Oh, oh, oh
    Oh, here we go
    Baby strike a pose
    I want your pretty little psycho

    Pretty little, pretty little, pretty little psycho
    Pretty little, pretty little
    Pretty little psycho
    Pretty little, pretty little, pretty little psycho
    Pretty little, pretty little
    Pretty little psycho

    Black lipstick just like a cat
    Have you purrin' on your back
    Tip the glass, now light it up
    Rebel, rebel can't get enough

    You're lookin' crazy, you're lookin' wrong
    We look like we belong
    And once I've got you, it's a fact
    Baby, there's no turning back

    Make me, make me impressed
    Make me, make me obsessed

    Oh, oh, oh
    Oh, here we go
    Walkin', talkin' like you know
    I want your pretty little psycho
    Oh, oh, oh
    Oh, here we go
    Baby strike a pose
    I want your pretty little psycho

    Pretty little, pretty little, pretty little psycho
    Pretty little, pretty little
    Pretty little psycho
    Pretty little, pretty little, pretty little psycho
    Pretty little, pretty little
    Pretty little psycho

    There's somethin' about you driving me mad
    There's somethin' about you I've got to have
    There's somethin' about you
    There's somethin' about you

     Oh, oh, oh
    Oh, here we go
    Walkin', talkin' like you know
    I want your pretty little psycho
    Oh, oh, oh
    Oh, here we go
    Baby strike a pose
    I want your pretty little psycho

     Pretty little, pretty little, pretty little psycho
    Pretty little, pretty little
    Pretty little psycho
    Pretty little, pretty little, pretty little psycho
    Pretty little, pretty little
    Pretty little psycho


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  • Bonsoir. Le texte original est . Oui, j'ai la flemme d'écrire. Sois béni.

    _____________________________________________________________________________

    Objet # : SCP-200-FR

    Nom d’appellation : Au Nom de l’Humanité

    Niveau de menace : Indéterminé

    Classe : Non-Classé

    Procédures de confinement spéciales : SCP-200-FR ne pouvant être déplacé, sa porte d'entrée doit être maintenue verrouillée et surveillée continuellement par les membres du personnel de sécurité. Ceux-ci agissent officiellement en tant que membres de la gendarmerie enquêtant sur les cas d' "hallucinations" et de "disparition" rapportés par des civils habitants à proximité de SCP-200-FR. Les lieux étant réputés "hantés" par les autochtones, ceux-ci n'ont pas pour habitude de s'en approcher, mais chaque rôdeur doit être appréhendé par le personnel, qui lui administrera un amnésique de Classe A si besoin est. Afin de prévenir toute tentative de ce genre, un périmètre de 700 m², délimité par une bande de sécurité autour de SCP-200-FR, doit être gardé dressé en permanence. Deux gardes sont tenus d'y patrouiller dans le sens horaire une fois par heure.

    Afin de ne pas faire connaître ce lieu auprès de la population, le service informatique de la Fondation doit mener des recherches régulières sur Internet et effacer les films, photographies, ou fermer les sites qui évoquent SCP-200-FR ou sous-entendent son existence au nom de la privatisation du lieu par un particulier et du droit à l'image de sa propriété.

    Une fois par an, un membre du personnel de Classe D sélectionné à l'avance, ayant suivi une formation de langue latine, doit être escorté jusqu'à SCP-200-FR, puis introduit à l'intérieur de celui-ci. Ceci est considéré comme une priorité de type Alpha ; si une telle mesure venait à ne pas être entreprise, il en résulterait potentiellement un scénario de type XK. Une injection de produit analgésique doit lui être faite au préalable.

    Si le membre du personnel de classe D "survit" à SCP-200-FR, alors il pourra être remis en liberté à la suite de l'administration d'un amnésique de classe C.

    Description : SCP-200-FR est une cathédrale dont la construction serait datée du 12ème siècle, et appartenant aux styles architecturaux gothique rayonnant et gothique flamboyant. Le bâtiment mesure 125 m de long pour 34 m de large et la hauteur de la nef s'élève à 28 m. Elle est située dans la région de ██████, en France. Faute de travaux de rénovation, SCP-200-FR est dans un état de délabrement avancé, en plus d'être vidé de la plupart du mobilier habituel d'un lieu de culte.

    SCP-200-FR ne manifeste aucun effet ou propriété indésirable ou inhabituel en temps normal. Excepté le septième jour du mois d'Avril, et ce, chaque année. À partir de minuit de ce jour précis, le premier individu qui traversera les portes de SCP-200-FR pénétrera dans une version différée de celle actuellement connue de SCP-200-FR. De par l'état de nouveauté des lieux, il est supposé que le sujet est projeté dans l'histoire passée de SCP-200-FR. En effet, les vitraux ne sont plus brisés, mais en parfait état, tout comme le mobilier et les statues réparties dans toute la surface de SCP-200-FR, qui, à défaut d'être endommagés ou manquants, sont nombreux et dans un état de conservation remarquable. De plus, les sujets, toujours vêtus d'une bure jaune, déclarent voir SCP-200-FR de l'intérieur comme étant illuminé par la lumière du jour, ou apercevoir un ciel dégagé à travers les vitraux, malgré le fait qu'ils y soient entrés de nuit ou que le ciel soit en réalité couvert à l'extérieur. Si plusieurs individus franchissent le pas de la cathédrale en même temps, l'évènement n'aura pas lieu, et il est de même pour un éventuel témoin oculaire. L'évènement, quelle que soit son issue, ne peut pas être renouvelé pendant 1 an.

    Dès lors que le sujet pénètre dans SCP-200-FR, des moines vêtus d'une bure blanche seront assis sur tous les bancs, ou alors agenouillés en position de prière sur les bas-côtés et tout le long de la travée. Les sujets les ont décrit comme étant délicat à identifier en raison de leur capuchon relevé, bien qu'il ne s'agisse à priori que d'hommes caucasiens. Au niveau du transept, ces instances se tiennent debout, de façon à guider le nouveau venu tout droit, du narthex jusqu'au chœur. À côté de l'autel se trouve une imposante croix en bois, disposée horizontalement. Le sujet est accueilli par un chant religieux latin psalmodié par les instances. Leur nombre est estimé à 400 environ.

    Un homme âgé, vêtu d'une bure pourpre, au visage découvert, demandera au sujet de s'approcher en l'appelant par son prénom, qu'il connaît pour des raisons inconnues, et prononcera dans sa langue natale. Un autre homme se trouve à ses côtés, portant une bure rouge. Puis, il lui fera réciter une formule latine considérée comme le désir de confirmer ou d'accepter ce à quoi il est destiné. Alors seulement il l'invitera à prendre place sur la croix en vue d'un crucifiement. Ses poignets et ses chevilles seront maintenus attachés autour du poteau par des chaînes, puis fixés dans le bois à l'aide d'un marteau et de clous, et enfin, la croix sera relevée verticalement. La souffrance engendrée par le supplice est décrite comme "au-delà de ce que les mots permettent d'exprimer" par le dernier sujet en date. L'instance en bure pourpre mettra genoux à terre un bref instant face au sujet, puis se relèvera. C'est alors que l'homme en bure rouge s'avancera, exécutera un signe de croix puis transpercera le cœur du sujet à l'aide d'une lance (dont l'apparence est proche de celle d'un grand crucifix).

    Deux jours (ou 48h très exactement) plus tard (le 9 Avril), le sujet se réveillera, sain et sauf, là où il se trouvait dans SCP-200-FR lorsqu'il a été "tué" (sur le chœur). Il conserve le souvenir précis de ce qu'il a vécu, mais aucune blessure corporelles n'est à noter en revanche. En outre, le sujet sera "purgé" de son goût pour le crime ou le délit, et deviendra une personne au mental équilibré, nourrissant une aversion prononcée pour les actes malveillants.

     

    Au Nom de l'Humanité

    Au Nom de l'Humanité


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  • La bonne c'est que je suis toujours en vie :D ok c'est peut-être pas une si bonne nouvelle


    Bon restons sérieux un instant. Ca m'a manqué d'écrire ici ;^; Oui oui, je reviens pourrir le monde du net avec mes articles inutiles, et je suis sûre que ça te fait autant plaisir qu'à moi '3'

    Du coup passons à la mauvaise nouvelle. (enfin, si ça se trouve tu t'en bats légèrement les steaks, et ça m'étonnerait pas .-.) J'ai plus envie de continuer Guilty Temptation '-' *se prend une tomate dans la gueule*
    Ouais ouais, c'est bon, je sais que je me suis trop hypée avec ce truc, et je comptais vraiment commencer en juillet, mais là je sais pas vraiment si c'est toujours ma priorité. C't-à-dire que je continue toujours à écrire quelques chapitres dessus de mon côté, mais je me vois mal en faire une fic à poster sur un blog, tout simplement parce que je fais pleins d'autres choses qui me plaisent plus. Enfin attention, ça me plaît toujours d'écrire sur GT, mais pas assez pour vraiment m'investir à fond dedans. Voala.

    Maiiiiiis... J'aurais quand même aimé te faire connaître un peu l'histoire. Parce que. J'ai pas écris toutes ces lignes d'explications délicates pour des prunes. Du coup, pour ton plus grand plaisir, je vais écrire un résumé du déroulement de l'histoire dans la rubrique de GT qui se trouve dans le Terrier. Enfin bref, le blog que j'ai ouvert y a pas si longtemps sera supprimé, tout ce qui restera de la fic se trouvera dans le Terrier, et le reste complètement oublié. En toute simplicité. Et n'oublie pas de me frapper la prochaine fois que je lance un projet des mois en avance. Ca risque de très mal se finir pour la population française toute entière.

    Sur ce, guette bien le prochain article, et sois sage.


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  • Bon ! Comme promis il y a quelques jours bonsoir voilà le petit résumé de GT, alors soyons brefs et efficaces.

    Notre personnage principal s'appelle Iwata Kurotsuki (d'ailleurs son nom est le même qu'un de mes OCs dans Pokémon, mais ça n'a absolument aucun rapport). C'est un gros dépressif paraplégique qui fait la gueule à tout le monde et qui a passé toute son enfance dans un hôpital, qui est plus une sorte d'hospice en granit sans chauffage au sol (nous sommes au XIXe siècle). C'est donc à St Raen - l'hôpital - qu'il rencontre Shiro, seul personnage secondaire "objectivement" féminin, et aussi celui que je déteste de tout mon être :D Shiro donc, c'est la nana toute douce et toute gentille, qui, à priori, n'a rien à foutre dans un hôpital.
    Bon, on connaît les bails, le mec un peu tsundere qui n'apprécie que la compagnie de sa meilleure amie, cette dernière qui est aussi con que ses fesses et qui n'arrive pas à voir qu'il est amoureux d'elle, etc. Bon, ils vont, après s'être tournés autour le temps de quelques chapitres, se mettre "officiellement" en couple, et sbaf, St Raen est victime d'un incendie criminel. Iwata et Shiro, qui n'y ont jamais été heureux, en profitent pour se faire la malle et se retrouvent à Hamter, leur ville.

    (Alors, petite parenthèse, ceux qui liront Dollhouse se rendront compte que je n'ai aucune originalité pour faire disparaître les bâtiments que je sais pas quoi en foutre ;w; bonne journée, c'était tout.)

    Ensuite, on passe les chapitres chiants, quand ça rencontre de la racaille dans les bas-fonds, quand ça trouve un taff dans un bar, quand ça tourne autour du pot et que la relation amoureuse reste toute aussi plate qu'au premier jour (ouais, chuis pas une immense fana des couples simples fille/garçon dans les histoires. A moins que ça sorte un peu des sentiers battus, et c'est rarement le cas.) Finalement, ça rencontre Higashi Hanayoru, un gars trop badass qui a toujours vécu dans les mauvais quartiers, qui se bat plusieurs fois par jours et qui se balade toujours la clope au bec. Ils se rencontrent alors que nos deux tourtereaux se font emmerder par un groupe de voyous, et Higashi, en parfait gentleman, s'empresse de voler à leur secours et en plus de les héberger dans son modeste deux pièces avec un seul matelas rempli de cafards. (ouais, t'es un gangster, mais tu t'appelles pas forcément Vito Corleone)

    Pendant un certain moment, Shiro travaille dans son petit bar, Higashi part se foutre sur la gueule dans la rue, et Iwata reste à la maison à rien foutre, ou p't'être bien qu'il vend des kiwis exportés de Madagascar à mi-temps. Et bon, après quelques temps de cohabitation, Higashi va tomber amoureux d'Iwata o3o Quand il va lui avouer ses sentiments, Iwata va se rendre compte qu'il a rien contre les bonhommes, et en plus de ça qu'il est peut-être lui aussi attiré par Higashi. Bref, Shiro va s'en rendre compte, et comme elle s'est trrrrès attachée à son cheupinou-chéri, elle va légèrement vouloir buter Higashi <3 (oui, on appelle ça une yandere, mais je n’appellerai pas Shiro yandere, parce qu'une yandere c'est cool et Shiro n'est PAS cool.)
    Moi-même j'ignore par quelle sorcellerie, mais elle va prendre sur elle et attendre qu'Iwata fasse un choix. Qu'il ne fera jamais.
    Entre temps, il se passe pas mal de choses inutiles et pas très importantes pour la suite. Et pour cette partie-là, j'ai omit de préciser que Shiro est une elfe et qu'elle vaut masse de pépettes samère. Alors, lorsqu'elle revient toute seule de son travail, elle se fait choper par une bande de SDF en bérets juste devant chez elle (au passage, ils attrapent aussi les deux autres gus à l'intérieur qui ont rien vu venir) qui les revendent tous les trois à un marchand d'esclaves. Ouais, c'est un peu tiré par les cheveux de ce côtés-là, mais j'avais pas trop d'idées, et j'aurais certainement modifié le passage si j'avais continué à écrire.

    Et comme dans ce monde à la con, c'est très normal pour les riches d'avoir des esclaves venus des quartiers pauvres, ils sont exposés sur la place publique, et très vite rachetés par Mitsuko Tsuwabuki, entre autres héritière de la famille la plus importante de la ville, ce qui fait que son père fait un peu la pluie et le beau temps quand il veut. Je vais essayer d'aller très vite parce que sinon j'ai pas terminé...
    Mitsuko (mon personnage préféré, je le dis de suite) dit à Shiro qu'elle est sa sœur jumelle, et qu'elle l'a reconnue à son tatouage en forme d'ailes dans le dos, propre à leur famille. Shiro n'en sait rien, bien sûr, étant donné qu'elle a été envoyée bébé à St Raen parce qu'elle est atteinte d'une sorte d'autisme et que c'est pas la classe pour les Tsuwabuki toi-même tu sais.
    Donc, leur père, en plus d'être un connard, est en déplacement pendant plusieurs mois et donc Mitsuko est seule dans le manoir avec ses domestiques. Iwata, Shiro et Higashi restent en temps qu'invités d'honneur, ettttt... Mitsuko va tomber amoureuse de sa sœur jumelle, Shiro. Bon passons, c'est pas le plus important ; Iwata va découvrir que Mitsuko est un garçon (me demande pas comment, laisse le côté sale de ton imagination travailler '-'), et Shiro est... un peu dégoûtée, en fait. Oui, c'est une biatch. Déteste-la.
    Bon, la plupart des habitants de la ville sont au courant pour Mitsuko, et encore heureux j'ai envie de dire, mais vue la popularité du père, on en parle pas tellement.
    Du coup, pour schématiser : Mitsuko est amoureux de Shiro, Shiro qui est amoureuse d'Iwata, Iwata qui éprouve la même chose pour Shiro et Higashi, Higashi qui est amoureux d'Iwata. Tu suis ? (bon Dieu, j'ai presque l'impression de réécrire Twilight, je me dégoûte moi-même)

    A nouveau, des épisodes pas bien importants, et on apprend que Gakuto Tsuwabuki, le père de Shiro et Mitsuko, est mort en mer. La joie. Mitsuko hérite donc des richesses de son père, puis, se suicide vers la fin de l'histoire. Pas à cause de son père, non, juste parce qu'il savait que sa salope de sœur n'aimerait jamais quelqu'un d'autre qu'Iwata. Du coup bah, c'est à Shiro que revient l'héritage et le "trône", si je puis appeler ça comme ça, même si officiellement elle fait même plus partie de la famille. Alors elle fait exécuter Higashi en toute légitimité pour ses crimes dans les bas-fonds, et reste enfermée dans le manoir avec Iwata qui devient encore plus dépressif qu'au début.
    Fin.

    Bordel, qu'est-ce que ça a l'air merdique raconté comme ça x) Tant pis, je suis pas en train de me faire de la pub, c'est juste pour pas avoir fait tous mes avertissements pour rien ._. Et finalement je les ai bien faits pour rien parce que j'ai pas parlé de zgeg une seule fois dans mon texte ewe
    Le taff est fait, tu peux rentrer chez toi et oublier tout ça. Petit spoil pour le prochain article, on s'attaque de nouveau à la torture *w*


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  • Héhé. Bonjour :DDD *se fait tabasser au fond d'une ruelle sombre et meurt d'une hémorragie après avoir erré seule dans le froid et la faim* RIP Swanny le lapin, toujours dans les cœurs de ses lecteurs frustrés.

    Blblblblblbl fini les conneries, je sais que j'ai pas été cool l'autre fois en disant revenir. C'était, comme on dit dans le jargon, du foutage de gueule ;3 Enfin, après tout je suis censée être maléfique, tu vas pas commencer à me donner des leçons de savoir vivre et tout ça, parce que ça va vraiment mal se finir ewe J'étais occupée, tout simplement. Et je pense que je le resterai encore pendant un moment ; parce que je passe le brevet en juin, parce que je m'efforce de torcher Dollhouse une bonne fois pour toute (c'est bientôt fini d’ailleurs o3o), et parce que j'ai une vie bordel. Composée essentiellement d'animés et d'heures de sommeil, mais ça reste ma vie, donc on ne juge pas '-'

    Je rentre donc dans le vif du sujet, mis à part mon éternel JE SUIS ENFIN REVENUE LOLILOL JE T'AI MANQUE HEIN, DIS-LE A VOIX HAUTE QUE JE PUISSE T'ENTENDRE ET TE DIRE QUE JE REPARS, il y a aussi le changement de thème, comme tu as dû le remarquer. Après, ça doit faire tellement longtemps que personne est venu que tu as dû oublier l'ancien >.> Bon, il est un peu simple et pas si différent de l'autre, mais j'avais besoin d'un peu de changement. Y a juste les bordures grises dégueulasses que je sais pas enlever parce que je suis une grosse kikoo, et très franchement j'ai la flemme de chercher. Donc on fera avec, je pense que ça t'agresse pas tant les yeux que ça.

    Ensuite ! Rien d'autre de spécial ne va changer comme les autres fois, je prévois juste un prochain article sur un instrument de torture (dédié à tous les lecteurs de Ça, un vrai plaisir), et j'aimerais aussi mettre en ligne une vidéo crack de Pandora Hearts que j'ai faite y a un bon moment déjà et qui dépérit sur le bureau de mon PC. Bon, entre les logiciels de montage et moi c'est pas l'amour fou, pis mon humour est un peu douteux, mais c'est pour le délire et ça m'a bien amusée de le faire, donc c'est prévu pour très bientôt.

    A part ça, je voulais aussi écrire des articles d'explication sur des fanfictions (enfin fanfiction, y a de quoi écrire pas mal de trucs avec tout ce que j'ai à raconter) qui me tiennent à cœur, à savoir celles sur LGDC et Pokémon. Aussi, il y a énormément à dire, et je pense que ce serait moins chiant pour toi et moi une vidéo explicative pour chaque univers. C'est pas vraiment dans le thème du blog, mais comme dit ça me tient à cœur, et ça peut en intéresser plus d'un. Parce que tout le monde connaît Pokémon, et que y en a pas mal qui aiment LGDC qui viennent ici. Je le sais, je le vois, je constate.

    Voilà donc un peu la liste des choses qui vont se passer avant et pendant les vacances d'été (quoique pour les deux vidéos c'est encore à voir mais je devrais avoir le temps cet été), alors sois sage et mange cinq fruits et légumes par jour pour bien grandir. Et... aime-moi quand même, please <3


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  • Channel link : Pourquoi Avoir Peur ?


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